Lors d’une séance nous avons demandé
à nos élèves de s’échauffer collectivement. Nous avons vus, malgré le fait que
ces derniers ont eu à s’échauffer bon nombre de fois avant, qu’ils éprouvaient
les pires empêchements à le mettre en œuvre pour eux-mêmes.
Dans une séance à l’autre, nous sollicitons
à deux élèves de la classe de préparer l’échauffement pour la séance suivante. Nous remettons aux élèves une brochure
à lire et une fiche qu’ils devront remplir afin de les aider à préparer leur
échauffement. S’ils éprouvent des difficultés, ils disposent d’une semaine pour
nous en parler, ou demander à leurs collègues qui sont déjà passés.
A la fin, nous rassemblons les élèves
et nous procédons à un bilan collectif, afin de faire verbaliser les élèves sur
les points négatifs et positifs, cela leur permet de mieux se rendre compte de
ce qu’il faut faire et pas faire. L’échauffement est noté. Correspondant à la
partie connaissance de la note finale sur 20.
Un échauffement se compose de 2 parties.
Objective : Faire monter notre corps en température (lorsque l'on fait du sport, la température de notre corps qui est d'environ 37°C au repos, monte fréquemment à 38,5°C. D'où cette sentiment de chaleur qui occupe notre corps).
Exemple: Au foot, on peut faire une passe à 10 ce qui finira d'échauffer complètement les articulations des chevilles et des genoux, ainsi que les muscles des jambes.
L'échauffement général
comporte 3 phases.
BUT: Augmenter le rythme cardiaque et respiratoire.
Mise en action : Course de 3 à 5 minutes.
Mise en action: Échauffer les articulations
concernées par l'activité en leur imprimant un mouvement de rotation. Ceci est
valable pour toutes les articulations sauf pour les genoux et les coudes car l’articulation
ne permet pas ce type de mouvement. Par conséquent, pour les genoux il
faudra faire des monter de genoux ou des talons-fesses et pour le coude des
flexions-extensions.
Exemple: en football il faudra échauffer les
chevilles, les genoux et le cou. Par contre, il n'est pas obligatoire
d'échauffer les poignets, les coudes et les épaules puisqu'ils ne servent pas
beaucoup dans l'activité.
BUT: Eviter les contractures, les
déchirures, les claquages musculaires.
Mise en action . Étirer les muscles concernés par
l'activité.
Exemple: en football il faudra étirer:
pendant 10 à 15 secondes environ, surtout il ne faut pas donner d'à-coups.
Il faut, lorsque l'on étire un muscle, souffler l'air que l'on a dans ses
poumons pour bien se relâcher.
Il ne faut pas que cela fasse mal, car le muscle se contractera
tout seul et ne sera donc pas étiré. C'est un réflexe pour éviter que le muscle
se déchire.
Essayer chez vous les exercices que vous souhaitez faire faire à vos
camarades pour constater si cela tire effectivement le muscle voulu.
Consignes de sécurité ?
- Avant de commencer ma roulade arrière, je vérifie que personne n’est derrière moi
- Pendant la roulade arrière, je rentre la tête
Comment faire pour réussir ?
- Je démarre accroupi
- J’ai le dos rond
- Je regarde mon ventre
-Je colle mon menton à ma poitrine
- Je finis en plaçant en poussant sur mes mains pour me redresser
Comment je sais que j’ai réussi ?
- Je me relève sur les pieds sans que mes genoux touchent le sol
- J’ai réalisé ma roulade arrière dans l’axeNiveau 1
Description : Départ debout, retour debout, Tout au long de la roulade je dois avoir les pieds et les genoux collés
Niveau 2
Description : Roulade arrière enchaîné d’un demi-tour en l’air puis d’une roulade avan
Niveau 3
Description : Roulade arrière, un tour complet en l’air enchaîné d’une seconde roulade arrière
ROULADE ARRIÈRE SUR PLAN INCLINE
Consignes de sécurité ?
- Avant de commencer ma roulade arrière, je vérifie que personne n’est derrière moi
- Pendant la roulade arrière, je rentre la tête
Comment faire pour réussir ?
- Je démarre accroupi
- J’ai le dos rond
- Je regarde mon ventre
-Je colle mon menton à ma poitrine
- Je finis en plaçant en poussant sur mes mains pour me redresser
Comment je sais que j’ai réussi ?
- Je me relève sur les pieds sans que mes genoux touchent le sol
- J’ai réalisé ma roulade arrière dans l’axe
Niveau 1
Description : Départ assis, retour debout. Tout au long de la roulade je dois avoir les pieds et les genoux collés
Niveau 2
Description :La même chose avec un foulard entre les genoux
Niveau 3
Description : Roulade arrière sur plan incliné jambe écartées. Départ assis, retour jambes tendues et écartées
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- هدف من هذه المراجع هو جعل المهتم في قلب الحدث.
- إعطاء نظرة عامة لمن أراد التخصص في المجال عن نوع الأسئلة المطروحة .
- الإعتياد على مثل هذه النماذج تفتح للمهتم أبواب و مجالات المراجعة.
- تطوير المهارات و المعارف في كل التخصصات.
من خلال هذا المنشور ستجد عزيز القارئ و المهتم بكل أشكال الحركات الأرضية في الجمباز و التي ستساعدك في فهم كل الأنشطة و الحركات و آداءاتها على أتم وجه, فما عليك سوى تحميلها و دراستها دراسة متمعنة ليسهل عليك تطبيقها أو دراسة أحوالها فقد قدمت معها كل الشروحات التي تخص كل نوع و كل درجة من درجات الصعوبة.
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Les courses de relais occupent une place à part dans l’ensemble des spécialités athlétiques. Elles se distinguent en effet des autres épreuves par leur caractère collectif qui s’opposent à l’aspect individuel valorisé dans les autres secteurs de l’athlétisme. Ce sont bien ici des équipes qui s’opposent, luttent, perdent ou triomphent, et l’effort individuel n’est qu’une composante de l’effort collectif. Cette solidarité, cette fraternité clairement recherchée s’explique par les origines historiques de ce type d’épreuve.
D'abord purement utilitaire, les courses de relais ont été créés dans le but d’accélérer la transmission des messages et nouvelles et ne présentaient pas le caractère compétitif qu’elles ont de nos jours. C’est en particulier dans le milieu des hommes amenés à lutter contre le feu qui va se développer la mode d’opposer des équipes de relais, et ce dans un but d’entraînement. Les pompiers américains imaginent en effet des compétitions dans lesquelles des formations s’affrontent sur des distances variables en se transmettant un fanion. L’idée est bientôt reprise par les étudiants et, dès la fin du 19ème siècle, les universités ont pris l’habitude d’organiser des compétitions sportives presque uniquement consacrées à des courses de relais.
Les courses de relais
(4 × 100 m et 4 × 400 m) sont des épreuves par
équipes de quatre
coureurs ; chacun d’entre eux effectue une distance imposée, appelée
relais, puis passe le témoin (un bâton rigide et creux) à un coéquipier. Le
passage du témoin doit s’effectuer dans une zone de
Dans
les compétitions internationales, il n’existe que trois relais :
le 4x100m,
le 4x200m
le 4x400m.
Ces mesures ne sont
valables que pour le 4x100m et le 4x200m. la zone d’accélération est supprimée
pour les distances supérieures.
Si
un coureur doit tracer des marques pour lui-même, il le fera à l’intérieur de
son couloir.
C’est
le tube lisse de 28 à
En fait, seul le témoin parcourt la distance
totale de la course. C’est en quelque sorte sa vitesse qui sera évaluée. Il
sera donc nécessaire qu’il ne décélère à aucun moment, pendant les deux phases
de course et de transmission.
L’appréciation des vitesses
L’anticipation
des moments de départ
La
mise en action : départ debout
- La
transmission du témoin à grande vitesse
- F.E :
L’ajustement
des vitesses
Maîtrise
des deux rôles (relayeur et relayé
- F.E :
- Placement
dans le couloir au moment de la jonction.
- Déclencher des actions en utilisant des
repères visuels/auditifs.
- Maintenir
la vitesse maximale acquise jusqu’à la jonction.
- Transmettre
l’engin sans perturber le rythme de la course.
- Ajuster le placement des coéquipiers au moment de la transmission du témoin et pendant la mise en action du relayé.
En fait seul le témoin parcourt la distance
totale de la course .c’est en quelque sorte sa vitesse de déplacement qui
sera évalué. Il sera donc nécessaire qu’il ne décélère a aucun moment, tant
dans les périodes portées (phase de course) que dans les périodes de
transmission (phase de passage).le travail de la technique et de l’aspect
physique chercheront à répondre à ce double objectif.
Durant cette période, la vitesse de déplacement
de témoin se confond avec celle de l’athlète qui le porte. Tout l’élément
technique qui régit la course de vitesse reste valable.
Signalant toutefois que les courses de relais sur
piste se déroulent, en partie en virage. La course en virage présente en
particularité qu’il sera bon d’aborder systématiquement .il faudra en
particulier :
-travailler la fréquence d’appui afin de mieux
résister a la force centrifuge.
-serrer la corde au plus près (gain de distance)
Depuis la création des courses de relais, de
multiples procédés pour parfaire cette transmission on été expérimenté. Dans
le but de diminuer la distance parcourue par chaque athlète et de réduire le
temps de transmission. Citons pour mémoire les différentes méthodes :
Les deux partenaires sont pratiquement au même
niveau. Le relayé transmet le témoin par un mouvement
de haut en bas dans la paume du relayeur, cette paume étant tournée vers le ciel.
Avantage : méthode sure, limitant le
déséquilibre des
coureurs.
Inconvénient :
méthode peut avantageuse du point de vue du gain de terrain, les deux
partenaires devant être cote à cote.
Le relayeur tend le bras vers l’arrière, la main
ouverte présentant la paume vers l’arrière. le pouce est écarté des autres
doigts .Le relayé place directement le témoin dans la main du relayeur par
un mouvement de bas en haut.
Inconvénient : la surface de transmission
par contact étant réduite, les risques de chute du témoin sont importants.
Deux éléments sont à considérer : la
réaction à un signal visuel et la mise en action.
La vitesse d’arrivée du relayé étant toujours
considéré comme maximale ,le relayeur doit chercher à avoir toujours la même
réaction .pour cela :il va disposer d’un repère visuel symbolisé par une
marque placée sur la piste, et dont la distance aura été au préalable
soigneusement testée .quand le relayé passera sur cette marque ,le relayeur
devra se mettre en action .il est donc important à développer la notion
d’anticipation et la notion d’évaluation de la vitesse d’approche afin
d’arriver une grande constance de la part du relayeur.
Celle-ci devra toujours être effectuée à vitesse
maximale. Là encore la technique de la mise en action évoquée dans les courses
de vitesse est à respecter. Lorsque le relayeur a décidé d’exécuter son départ,
il se comporte alors comme un sprinter qui essaie de ne pas se faire rattraper par
un poursuivant.
Si tous ces éléments ont été convenablement
respectés et si la distance de la marque déclenchant le départ du relayeur a
été bien calculée, la transmission du témoin pourra s’effectuer selon la
méthode choisie.
Dans tous les cas, les rôles des coureurs sont
clairement définis.
Il est de la responsabilité du relayé ,qui va
devoir décider du déclenchement de la transmission .c’est lui ,en effet ,le
mieux placé pour juger de la situation
et pour apporter d’éventuels ajustements
a la situation immédiate ;par ailleurs son regard étant orienté dans le
sens du déplacement ,sa vitesse de course ne sera pas perturbée .quand il pense
être à la bonne distance de son partenaire ,il le prévient par un signal sonore
ex :hop ,le relayeur se borna à placer son bras en essayant de maintenir
sa vitesse maximal .il est très important que le relayé poursuit son effort au
moment de la transmission car toute décélération de sa part entraînerait une
mauvaise prise de témoin.
Le passage idéal s’effectue sur le nombre le plus
restreint possible de foulée (deux en général) car la transmission entraîne
toujours une légère décélération (bras placé vers l’arrière, désynchronisation
bras-jambes).
S’il juge qu’il ne va pas pouvoir rattraper son
partenaire à temps, il peut émettre le signal de déclenchement du bras plus
tôt. Il amène le relayeur à courir quelques foulées dans une attitude
contraignante (bras fixé vers l’arrière) qui le ralentira suffisamment pour que
la transmission puisse s’effectuer.
Si au contraire, il rattrape très vite son
partenaire, il attendra que celui-ci accélère suffisamment avant de déclencher
le passage, de telle sorte que le témoin ne soit pas porté par un athlète
n’ayant pas atteint sa vitesse maximale.
Dans ces courses ,la vitesse du relayé n’est pas maximal .pour des raisons physiologique(épuisement) ,elle devient inférieure à la vitesse maximal que pourrait acquérir le relayeur dans la zone de passage réglementaire .de plus ,elle peut varier considérablement d’une course à l’autre (mauvaise répartition des efforts ,vent de face ou de dos )l’adaptation des vitesses va donc se faire a l’instant même du relais et cette fois c’est le relayeur qui règle sa vitesse sur celle de son partenaire,
La projection du centre de gravité se trouve à la
limite de l’appui avant de façon à ce que la moindre poussée de l’appui arrière
provoque le déséquilibre recherché ; les bras sont placés pour respecter
la synchronisation bras/jambes.
La projection du centre de gravité se trouve
au-delà de l’appui pédestre avant, ce qui rend obligatoirement l’appui manuel
.il suffira de supprimer cet appui manuel pour obtenir le déséquilibre
recherché, la réaction sera donc plus rapide.
Nous n’avons séparé cette phase de la phase de
départ que pour des raisons de clarté. C’est durant cette phase que
l’athlète :
-exprime sa faculté d ‘accélération
-prend son attitude habituelle de pleine course
le plus harmonieuse possible (élévation progressive du centre de gravité)
Ce double impératif va
être résolu par le respect de deux éléments biomécanique :
-alignement pied bassin épaule constant ;
-orientation des forces de poussée vers l’avant
et le haut ;
La re-synthèse de l’ATP dans
l’organisme humain emprunte deux voies principales.
Le processus anaérobie alactique :
Ce processus entre en jeu dès les premières
secondes de l’exercice ; son combustible privilégiée est la créatine
phosphate CP ;grâce à l’influx nerveux stimuler par la baisse d’ATP
intramusculaire ,
CP C+P+E
Une partie de l’énergie produite permet de
re-syntétiser l’ATP dégradé selon la formule suivante :
ADP+P
⇒ ATP
Le processus anaérobie lactique :
Le substrat énergétique privilégié de ce
processus est le glycogène musculaire. Sous l’action de l’influx nerveux et en
présence de créatine, le glycogène se scinde en unité glucose.
Activité sportive de production d'enchaînements d'actions mettant en jeu une locomotion inhabituelle, destinée à être vue et jugée par rapport à un code de difficultés croissantes.
مرحبا بكل متتبعي مدونة الرياضة صحة و تنويم, نشكر الكل على الوفاء. ترددت كثيرا في نشر هذا الموضوع الذي يتهم فيه صاحبه بالسحر و خاصة حينما ترى المنوم أصبح يتحكم في المنوم بفتح الواو, و هذا ما يجعل المشاهد يدخل في التشكيك أن المنوم بفتح الواو يلعب الدور مع المنوم بكسر الواوا. و أبعد ما يقال في هذا أن المنوم يمارس السحر و الشعوذة لهذا كان لزما عليا توضيح هذا العلم, و إعطاءه حقه في التفسير و إزالة اللبس و الغموض عنه.
- utilisation importante du train supérieur, d'où nécessité d'une bonne tonicité musculaire.
- préservation de la colonne vertébrale: enroulement, gainage.
- développer des repères spatio-temporels (du visuel au kinesthésique).
-compréhension et respect des consignes de sécurité.
- anticipation et concentration lors des aides et parades.
- se connaître afin de s'engager dans des situations adaptées à ses possibilités.
gérer ses émotions
- l'APSA gymnastique appréhendé comme une activité d'épreuve peu s'avérer source d'émotions trop fortes pouvant mener au désengagement. A contrario, se méfier des élèves "casse-cou", à la recherche "d'émotions fortes".
- accepter le regard des autres: sécurité du point de vue social, importance de créer un climat de maîtrise, plus propice à l'acceptation du regard des autres.
- Aménagement matériel: mise en place des tapis, stabilité des caisses, écartement des barres ...
- Attention aux tapis trop mous pour les réceptions debout, jonction des tapis.
- Replacer régulièrement les tapis qui peuvent bouger suite aux passages répétés.