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La course de relais | Historique ; Définition ; Règlement


La course de relais |  Historique ; Définition ; Règlement

     

Histoire de la course de relais 

Les courses de relais occupent une place à part dans l’ensemble des spécialités athlétiques. Elles se distinguent en effet des autres épreuves par leur caractère collectif qui s’opposent à l’aspect individuel valorisé dans les autres secteurs de l’athlétisme. Ce sont bien ici des équipes qui s’opposent, luttent, perdent ou triomphent, et l’effort individuel n’est qu’une composante de l’effort collectif. Cette solidarité, cette fraternité clairement recherchée s’explique par les origines historiques de ce type d’épreuve.


D'abord purement utilitaire, les courses de relais ont été créés dans le but d’accélérer la transmission des messages et nouvelles et ne présentaient pas le caractère compétitif qu’elles ont de nos jours. C’est en particulier dans le milieu des hommes amenés à lutter contre le feu qui va se développer la mode d’opposer des équipes de relais, et ce dans un but d’entraînement. Les pompiers américains imaginent en effet des compétitions dans lesquelles des formations s’affrontent sur des distances variables en se transmettant un fanion. L’idée est bientôt reprise par les étudiants et, dès la fin du 19ème siècle, les universités ont pris l’habitude d’organiser des compétitions sportives presque uniquement consacrées à des courses de relais.

Popularité par les Etats-Unis, ce type d’épreuve va peu à peu conquérir le vieux continent et, en 1908, aux jeux olympiques de Londres, le premier relais officiel international est instauré. Il s’agit d’un relais à l’américaine dans lequel la distance totale est fractionnée en parcours de longueurs différentes (200m+400m+800m).
C’est en 1912, aux jeux de Stockholm, que les classiques relais 4x100m et 4x400m sont officialisés. Le règlement est alors un peu plus contraignant que de nos jours, puisque le relayeur doit se tenir à l’intérieur de la zone de transmission de 20m, ce qui représente un frein à ses possibilités d’accélération. Il faudra attendre 1963 pour que soit donnée, pour le 4x100m, l’autorisation d’effectuer un élan, 10m en avant de cette zone.

Définition :

Les courses de relais (4 × 100 m et 4 × 400 m) sont des épreuves par équipes de    quatre coureurs ; chacun d’entre eux effectue une distance imposée, appelée relais, puis passe le témoin (un bâton rigide et creux) à un coéquipier. Le passage du témoin doit s’effectuer dans une zone de 18 m. Dans l’idéal, le receveur et le passeur doivent courir à leur vitesse maximale et se trouver à environ 2 m l’un de l’autre au moment de la transmission du bâton.

Règlement:

Dans les compétitions internationales, il n’existe que trois relais :

le 4x100m,

le 4x200m

le 4x400m.

Les marques officielles sur la piste

Ces mesures ne sont valables que pour le 4x100m et le 4x200m. la zone d’accélération est supprimée pour les distances supérieures.

      Les marques personnelles

Si un coureur doit tracer des marques pour lui-même, il le fera à l’intérieur de son couloir.

Le témoin

C’est le tube lisse de 28 à 30 cm de longueur et de 12 à 13 de circonférence. Il ne doit pas peser moins de 50g.

Le passage du témoin

Le témoin doit être porté pendant toute la durée de la course. Le transfert de ce témoin d’un coureur à un autre se fait de la main à l’intérieur des zones de relais.
Seule, la position du témoin par rapport aux limites de cette zone est jugée (et non pas la position des coureurs).
En cas de chute du témoin, le concurrent qui l’a fait tomber peut le ramasser à condition :
     - De ne pas gêner les autres concurrents, s’il doit sortir de son propre couloir pour le rechercher 
        - De reprendre sa course de l’endroit de la chute du témoin.

Analyse didactique :

Logique interne : Course d’équipe durant laquelle un témoin, transmis d’un coureur à un autre, doit parcourir une distance donnée le plus rapidement possible.

En fait, seul le témoin parcourt la distance totale de la course. C’est en quelque sorte sa vitesse qui sera évaluée. Il sera donc nécessaire qu’il ne décélère à aucun moment, pendant les deux phases de course et de transmission.

      Les problèmes essentiels et facteurs d’exécution (F.E) :

- Le respect du règlement qui autorise la transmission du témoin dans une zone déterminée.

- F.E :

  L’appréciation des vitesses

  L’anticipation des moments de départ

  La mise en action : départ debout

La transmission du témoin à grande vitesse

 F.E :

  L’ajustement des vitesses

  Maîtrise des deux rôles (relayeur et relayé

_  Le choix d’une technique pour faire passer le témoin

- F.E :

-  Placement dans le couloir au moment de la jonction.

Les objets d’enseignement :

LES RELAIS COURTS :

-  La réaction à un signal visuel :
La mise en action :

Les relais longs

APPROCHE PHYSIOLOGIQUE :

 Sur le plan individuel :

- Déclencher des actions en utilisant des repères visuels/auditifs.

-  Maintenir la vitesse maximale acquise jusqu’à la jonction.

-  Transmettre l’engin sans perturber le rythme de la course.

 Sur le plan collectif :

- Ajuster le placement des coéquipiers au moment de la transmission du témoin et pendant la mise en action du relayé.

Approche technique :

En fait seul le témoin parcourt la distance totale de la course .c’est en quelque sorte sa vitesse de déplacement qui sera évalué. Il sera donc nécessaire qu’il ne décélère a aucun moment, tant dans les périodes portées (phase de course) que dans les périodes de transmission (phase de passage).le travail de la technique et de l’aspect physique chercheront à répondre à ce double objectif.

a- Les phases de course :

Durant cette période, la vitesse de déplacement de témoin se confond avec celle de l’athlète qui le porte. Tout l’élément technique qui régit la course de vitesse reste valable.

b- Les phases des courses en virage :

Signalant toutefois que les courses de relais sur piste se déroulent, en partie en virage. La course en virage présente en particularité qu’il sera bon d’aborder systématiquement .il faudra en particulier :

-travailler la fréquence d’appui afin de mieux résister a la force centrifuge.

-serrer la corde au plus près (gain de distance)

c- La transmission :

Depuis la création des courses de relais, de multiples procédés pour parfaire cette transmission on été expérimenté. Dans le but de diminuer la distance parcourue par chaque athlète et de réduire le temps de transmission. Citons pour mémoire les différentes méthodes :

Les deux partenaires sont pratiquement au même niveau. Le relayé transmet le témoin par un  mouvement de haut en bas dans la paume du relayeur, cette paume étant tournée vers le ciel.

Avantage : méthode sure, limitant le déséquilibre  des coureurs.

Inconvénient : méthode peut avantageuse du point de vue du gain de terrain, les deux partenaires devant être cote à cote.

2ème méthode :

Le relayeur tend le bras vers l’arrière, la main ouverte présentant la paume vers l’arrière. le pouce est écarté des autres doigts .Le relayé place directement le témoin dans la main du relayeur  par un mouvement de bas en haut.

Inconvénient : la surface de transmission par contact étant réduite, les risques de chute du témoin sont importants.

- L’ajustement des vitesses

Deux éléments sont à considérer : la réaction à un signal visuel et la mise en action.

La vitesse d’arrivée du relayé étant toujours considéré comme maximale ,le relayeur doit chercher à avoir toujours la même réaction .pour cela :il va disposer d’un repère visuel symbolisé par une marque placée sur la piste, et dont la distance aura été au préalable soigneusement testée .quand le relayé passera sur cette marque ,le relayeur devra se mettre en action .il est donc important à développer la notion d’anticipation et la notion d’évaluation de la vitesse d’approche afin d’arriver une grande constance de la part du relayeur.

Celle-ci devra toujours être effectuée à vitesse maximale. Là encore la technique de la mise en action évoquée dans les courses de vitesse est à respecter. Lorsque le relayeur a décidé d’exécuter son départ, il se comporte alors comme un sprinter qui essaie de ne pas se faire rattraper  par un poursuivant.

Si tous ces éléments ont été convenablement respectés et si la distance de la marque déclenchant le départ du relayeur a été bien calculée, la transmission du témoin pourra s’effectuer selon la méthode choisie.

Dans tous les cas, les rôles des coureurs sont clairement définis.

Il est de la responsabilité du relayé ,qui va devoir décider du déclenchement de la transmission .c’est lui ,en effet ,le mieux placé pour juger de la  situation et pour apporter d’éventuels  ajustements a la situation immédiate ;par ailleurs son regard étant orienté dans le sens du déplacement ,sa vitesse de course ne sera pas perturbée .quand il pense être à la bonne distance de son partenaire ,il le prévient par un signal sonore ex :hop ,le relayeur se borna à placer son bras en essayant de maintenir sa vitesse maximal .il est très important que le relayé poursuit son effort au moment de la transmission car toute décélération de sa part entraînerait une mauvaise prise de témoin.

Le passage idéal s’effectue sur le nombre le plus restreint possible de foulée (deux en général) car la transmission entraîne toujours une légère décélération (bras placé vers l’arrière, désynchronisation bras-jambes).

S’il juge qu’il ne va pas pouvoir rattraper son partenaire à temps, il peut émettre le signal de déclenchement du bras plus tôt. Il amène le relayeur à courir quelques foulées dans une attitude contraignante (bras fixé vers l’arrière) qui le ralentira suffisamment pour que la transmission puisse s’effectuer.

Si au contraire, il rattrape très vite son partenaire, il attendra que celui-ci accélère suffisamment avant de déclencher le passage, de telle sorte que le témoin ne soit pas porté par un athlète n’ayant pas atteint sa vitesse maximale.

Particularité de la transmission et de la course :

Dans ces courses ,la vitesse du relayé n’est pas maximal .pour des raisons physiologique(épuisement) ,elle devient inférieure à la vitesse maximal que pourrait acquérir le relayeur dans la zone de passage réglementaire .de plus ,elle peut varier considérablement d’une course à l’autre (mauvaise répartition des efforts ,vent de face ou de dos )l’adaptation des vitesses va donc se faire a l’instant même du relais et cette fois c’est le relayeur qui règle sa vitesse sur celle de son partenaire,

Le départ debout :

La projection du centre de gravité se trouve à la limite de l’appui avant de façon à ce que la moindre poussée de l’appui arrière provoque le déséquilibre recherché ; les bras sont placés pour respecter la synchronisation bras/jambes.

Le départ accroupi :

La projection du centre de gravité se trouve au-delà de l’appui pédestre avant, ce qui rend obligatoirement l’appui manuel .il suffira de supprimer cet appui manuel pour obtenir le déséquilibre recherché, la réaction sera donc plus rapide.

Les premières foulées (la mise en action) :

Nous n’avons séparé cette phase de la phase de départ que pour des raisons de clarté. C’est durant cette phase que l’athlète :

-exprime sa faculté d ‘accélération

-prend son attitude habituelle de pleine course le plus harmonieuse possible (élévation progressive du centre de gravité)

Ce double impératif  va être résolu par le respect de deux éléments biomécanique :

-alignement pied bassin épaule constant ;

-orientation des forces de poussée vers l’avant et le haut ;

La re-synthèse de l’ATP dans l’organisme humain emprunte deux voies principales.

Le processus anaérobie alactique :

Ce processus entre en jeu dès les premières secondes de l’exercice ; son combustible privilégiée est la créatine phosphate CP ;grâce à l’influx nerveux stimuler par la baisse d’ATP intramusculaire ,la CP libère de l’énergie .

CP    C+P+E

Une partie de l’énergie produite permet de re-syntétiser  l’ATP dégradé selon la formule suivante :

ADP+P           ATP

Le processus anaérobie lactique :

Le substrat énergétique privilégié de ce processus est le glycogène musculaire. Sous l’action de l’influx nerveux et en présence de créatine, le glycogène se scinde en unité glucose.

Merci 


Projet de badminton / AFRAE  AIT BOUDDI



Projet de badminton
AFRAE  AIT BOUDDI

Sous la supervision du professeur du sport:
HASSANE LOUKILI

Le badminton
Définition :
Le badminton est un sport de raquette qui oppose soit deux joueurs (simples)  soit deux paires (doubles)  placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. les joueurs appelés Badistes, marquent des point en frappant un volant à l’aide d’une raquette afin de le faire tomber dans le terrain adverse. L’échange se termine dès que le volant  touche le sol ou reste accroché dans le filet.

Projet de badminton / AFRAE  AIT BOUDDI




Histoire :      
l’un des ancêtres du badminton est le BATTLEDORE and SHTTLECOCH pratique en Angleterre dès le moyen âge, l’objet du jeu étant de maintenir  en l’air un SHTTLECOCH (volant) à l’aide d’une BATTLEDORE(raquette) quant au badminton actuel, on raconte qu’un jour de 1873 ,des officiers anglais revenus des indes se trouvant réunis dans le château du duc de beaufort à badminton (ville anglaise du GLOUCESTERSHIRE),en viennent à évoquer le jeu indien du (POONA),qui se pratiquait avec une raquette et une balle légère.ils se mettent alors en tête d’y jouer.mais n’ayant pas de balle sous la main ,ils décident d’utiliser un bouchon de champagne ,auquel ils attachent quelques plumes.  Amusés et séduits par leur trouvaille, ils décident de faire connaître ce jeu, sous le nom du château où il est né : Badminton. Quatre ans plus tard, ils publient les premières règles du jeu et s'en attribuent la paternité, bien qu'ils n'aient en fait rien inventé. Il n'y a pas si longtemps, ce sport passait uniquement pour un sport de plage.
Depuis 1934, date de la création de la fédération internationale de badminton (IBF), plus de 135 pays se sont affiliés à cette fédération, sur les 5 continents. Ce qui chiffre à plus de 100 millions le nombre de pratiquants sur la planète. Le comité olympique a donc décidé d'inscrire cette discipline aux Jeux Olympiques de Barcelone en 1992, à la suite d'une démonstration à Séoul, quatre années auparavant. Actuellement, les meilleurs joueurs mondiaux sont originaires de Chine, d'Indonésie, de Corée, ou de Malaisie. En Europe, seulement deux pays rivalisent avec les asiatiques : le Danemark et l'Angleterre. Depuis 1977, l'augmentation du nombre de joueurs français est de 7 à 18 % par an. En 10 ans, le nombre de licenciés en France a été multiplié par 6. Il y avait 600 clubs pour plus de 79000 licenciés en 2001 ; la barre des 100 000 licenciés a été franchie début 2005. Sur le plan scolaire, dans le cadre de l'UNSS, le badminton avec 150 000 compétiteurs est au 1er rang des sports individuels les plus pratiqués. Le badminton en simple fut la 2eme activité sportive la plus pratiquée au baccalauréat 2006.
Les règlements:
Les règles de jeu en simple :
Lorsque le badminton se pratique en simple, le joueur, lorsqu'il sert, doit se placer dans le carré droit ou gauche en fonction de son score. Dès l’instant où celui-ci correspond à un chiffre pair, le joueur se place dans le carré de droite pour servir.
Les deux pieds des joueurs doivent demeurer en contact avec le sol lorsqu'ils servent, le volant doit être cogné sous la taille.
Les règles de jeu en double :                           
Depuis 2006, les règles applicables au service en double ont été modifiées, au début de chaque set, le joueur au service et le receveur se tiennent dans la zone de service droite. Leurs partenaires se placent ou ils le souhaitent sur leur partie de terrain.
Le reste du temps, les règles ont changé. Les serveurs se positionnent à droit ou à gauche en fonction de leur score.
Désormais, si le service est gagnant, l’équipe marque un point, le serveur change de coté et continue à servir tant que son équipe gagne.
Au court des échanges, le volant peut être envoyé sur l’ensemble de la surface du terrain des adversaires.
Les  règles  d’éthique du badminton :
Le leitmotiv du badminton ? courtoisie dès qu’un incident se produit sur le terrain, le joueur à l’origine de ce trouble présente ses excuses à son adversaire ou à l’arbitre, et ce quel que soit  le contexte dans lequel se produit le désagrément : compétition ou entrainement.
Des usages être respectés lorsqu'il s’agit d’un match dans le cadre d’une compétition. Les joueurs, lorsque leur nom et leur numéro de terrain est annoncé, se doivent de récupérer leur feuille de match. il s’agit là de l’occasion de rencontrer son adversaire qui doit, bien entendu, être salué.
S’il s’agit d’un match qui se déroule en auto-arbitrage, cela signifie que les joueurs arbitrent eux-mêmes le jeu, le vainqueur se doit de remplir la feuille de match à déposer à la table de de marque.
 Le matériel :
1-la raquette : 
2-le volant :

Réalisé par l’élève : AFRAE AIT BOUDDI


Cycles Saut en Longueur [  حلقة القفز الطولي ]

Cycles Saut en Longueur

Voici un  cahier journalier  du  Saut en Longueur 2019 2020

Cliquez ici pour l'avoir 
 
 إشارة مهمة جدا لجميع الأساتذة الكرام فقط أطلب من الحارس العام لمؤسستك أن يعطيك لائحة التلاميذ الجديدة و قم بفتحها و فتح هذا الملف لتحصل على قائمة التلاميذ الذين يدرسون في مؤسستك و بذلك تحصل على دفتر اليوميات بدون تعب.

Voici un fiche d'observation pour ce cycle

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نفس الشيئ مع هذا الملف فقط إفتحه مع لائحة التلاميذ و ستحصل على قائمة التلاميذ لكل قسم و يجب الإشارة إلى أن ملف لائحة التلاميذ التي ستسلم لك من طرف الحارس العام في مؤسستك قم بحذف التاريخ من عنوان الائحة و التي تكون بصيغة excel و جعله كالتالي: 

Le  CYCLE DE  SL  1AC

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Le  CYCLE DE  SL  2AC

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Le  CYCLE DE  SL  3AC

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-1-RÈGLES COMMUNES AUX SAUTS EN LONGUEUR ET AU TRIPLE SAUT

1-Le sautoir 

Il comprend :

2- Cas de nullité d’un saut (cf. schéma 3)

Un saut est considéré comme manqué si le sauteur :
Cycles Saut en Longueur

 3 -délais pour les essais

Le temps accordé à un athlète devant effectuer un essai ne devrait pas dépasser Une minute (mn)

4-Essais différés

Aucun concurrent ne sera autorisé à avoir plus d’un essai différé pour un tour quelconque de la compétition.

5- Mesurage des sauts :

Tous les sauts seront mesurés à partir delà marque la plus proche faite dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres jusqu'à la ligne d’appel (ou à ses prolongement latéraux pour les sauts très désaxés et perpendiculairement à celle-ci (cf. schéma 3 sauteur E et F).

6-La lecture des performances

Pour tout essais valable, on place une fiche métallique en position verticale à l’endroit de l’empreinte laissée par le concurrent dans la zone de chute la plus prés de la ligne d’appel. La boucle du ruban métallique gradué est passée dans cette fiche de telle sorte que « le zéro » se situe sur la fiche. Ce ruban est tendu bien horizontalement en faisant de sorte qu’il ne passe sur aucune élévation du sol. La lecture se fait à l’aplomb de la ligne d’appel.

7- CLASSEMENT

Gagne le concours celui qui bondit à la plus grande distance.
En cas d’ex-aequo, les concurrents seront départagés comme suit :
On considérera la deuxième meilleure performance effectuée par les concurrents pour les départager. Ensuite si nécessaire la troisième meilleure et ainsi de suite. 
Si l'exaequo persiste et s’il s’agit de la première place les concurrents ayant obtenu le même résultat devront concourir à nouveau dans le même ordre pour un nouvel essai,
jusqu'à ce qu’ils soient départagés.
Il doit être attribué à chaque concurrent le meilleur résultat de tous ses essais supplémentaires pour décider de la première place.

RÈGLES PARTICULIÈRES AU SAUT EN LONGUEUR  

1- La nature du saut Le saut en longueur se caractérise par une course d’élan, d’une impulsion sur la-La planche d’appel 
2-La planche d’appel.
3- la vitesse du vent L’appareil de mesure de la vitesse du vent est appelé l’anémomètre. 
Les périodes pendant lesquelles la vitesse du vent doit être mesurée sont les suivantes :
 Au saut en longueur la vitesse du vent doit être mesurée pendant une période de cinq second (5 s)

NB 1  si la vitesse du vent mesurée dans la direction de la course derrière le concurrent dépasse 2 m/s le record ne sera pas homologué.

NB 2 il est rappelé qu’il faut prévoir l’emplacement d’une manche à air indiquant le sens et la force du vent.  

Saut en Longueur 

saut en longueur technique

رياضة القفز الطوليّ والتي تُسمّى أيضاً برياضة الوثب الطولي، ويمكن تعريف القفز الطولي بأنّه: أحد الرياضات الأولمبيّة والتي تعتمد على فكرة القفز لأبعد مسافة ممكنة، حيث يختلف الرقم القياسيّ للرجال عنه لدى النساء، فالمعتمد للرجال هو 8.95م والذي سجّله اللاعب الأمريكي مايكل باويل في المنافسة التي أجريت في طوكيو في 30 أغسطس من عام 1991م، أمّا النساء فالرقم القياس لهن هو 7.52م حيث سجّلته اللاعبة الروسية غالينا تشيستياكوفا في المنافسة التي جرت في روسيا في 11 يوليو لعام 1988 م. 
ظهرت هذه الرياضة من قديم الزمان في عهد الإغريق وذلك لحاجتهم إلى تلك الرياضة والتي تساعدهم في عبورهم للأنهار، والخنادق، والحواجز التي تعترضهم أثناء الحرب والسلم، وكان لهذه الرياضة أهمّية كبيرة في القديم حيث كانت تجرى ضمن برنامج المسابقة الخماسيّة في الأعياد الأولمبيّة.
قانون اللعبة تتميّز قوانين لعبة القفز الطولي أنّها سهلة عند تعدادها ولكنها صعبةٌ عند القيام بتطبيقها وهي كالتالي:
 الجري في المكان المخصّص له، ومن ثم زيادة السرعة بشكلٍ تدريجيّ كي تساعد القافز على دفع جسمه إلى الأمام.
 القفز عند العلامة دون لمسها (الخط الأحمر).
 عند قيام المنافس بالقفز لا يسمح له بالرجوع إلى الخلف أيّ خطوة
العوامل المؤثرة في الوثب الطويل الوثب الطويل يعتبر من أسهل الرياضات من ناحية الشكل الخارجيّ للرياضة، أمّا إذا أمعنّا التركيز في  طريقة الوثب الطويل لتوصّلنا إلى أنّه يعتمد على قانون المقذوفات حيث يعتمد على: 
سرعة انطلاق اللاعب
زاوية انطلاق اللاعب لحظة الارتقاء.
 زيادة مركز ثقل جسم اللاعب عند أعلى نقطة في قوس الطيران.
مقاومة الجاذبية لجسم اللاعب وهو في الهواء. 
المراحل الفنية للقفز الطولي
 الاقتراب: وهي أهم مرحلة من مراحل الوثب حيث إنها تحدد نجاح أو فشل الوثبة، وتهدف هذه الخطوة لوصول اللاعب إلى الوضع المثاليّ بأكبر سرعة ممكنة، فهي تبدأ بأوّل خطوة في الاقتراب وتنتهي بارتطام قدم اللاعب بلوح الاقتراب، وتتراوح مسافة الاقتراب عادة ما بين 25 و40م. 
الارتقاء: يقوم المتسابق في هذه المرحلة بدفع لوحة الارتقاء بقوّة وسرعة وذلك بمجرد أن تتعدى الرجل الحرّة رجل الارتقاء. 
الطيران: وهي المرحلة التي تفصل بين ارتقاء اللاعب وهبوطه، حيث تخضع هذه الحركة إلى قانون المقذوفات. 
الهبوط: وهي المرحلة الأخيرة حيث يسعى اللاعب للحصول على أطول مسافة أفقيّة ممكنة، حيث تمتد الرجلان تماماً وتهبط الذراعان نحو الأسفل، وعند لمس الكعبين لحفرة الوثب يتقدّم مركز ثقل الجسم ليكون فوق القدمين مباشرةً، وترفع الذراعان للأعلى للوقوف على 
القدمين.




SAUT EN LONGUEUR

SAUT EN LONGUEUR


SAUT EN LONGUEUR

I- Règlement

     1- Piste d’élan et sautoir

Le règlement international fixe tout d’abord les limites à l’intérieur desquelles le sauteur pourra s’exprimer.
Relevons maintenant les règles principales régissant ce concours.

SAUT EN LONGUEUR

2- Nombre d’essais
S’il y a huit participants au plus, tous disposent de six essais. Au-delà, chacun aura droit à trois essais et les huit meilleurs pourront réaliser trois essais supplémentaires.

    3- cas de nullité

Il nous a paru intéressant de reproduire le schéma illustrant le mesurage des sauts

SAUT EN LONGUEUR



Sauteur A : Appel sur la planche valable.

Sauteur B : Appel sur la planche valable, mais la réception est en dehors du prolongement de la piste d’élan. On prolonge la ligne d’appel, et on mesure perpendiculairement à cette ligne prolongée.
Sauteur C : Appel avant la planche (C’) valable. La mesure se fait depuis la ligne d’appel.
Sauteur D : Il retombe avant la fosse (cas du triple saut) essai nul.
Sauteur E : Sa main touche en E’ hors de la zone de chute et en deçà de sa marque: essai nul.
Sauteur F : Sa main touche en F’ hors de la zone de chute, mais au-delà de sa marque : essai valable, mais mesurage comme en B.
Sauteur G : Après la réception dans la zone de chute, il revient en arrière à l’intérieur de celle-ci essai nul.
Sauteur H : Il a pris son appel à côté de la planche d’appel et à l’extérieur de la piste d’élan en H’ : essai nul.

    4- Mesurage des sauts

Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche faite dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres, jusqu'à la ligne d’appel et perpendiculairement à cette ligne.

    5- Classement ex-æquo

C’est le meilleur des six sauts effectués qui détermine la performance finale.
En cas d’ex æquo, la deuxième meilleure performance départage les concurrents; si l’ex æquo subsiste, c’est la troisième meilleure performance qui est prise en compte et ainsi de suite.

    7- Technique

SAUT EN LONGUEUR

CRITÈRES DE RÉUSSITE

1.  Liaison course-impulsion sans perte de vitesse.
2. Étalonnage, Course progressive et accélérée dans l’axe et sans piétinement.  
3.  Griffé et impulsion explosive  vers l’avant et le haut.
4.   se réceptionner sur les deux jambes «  position assise »

SAUT EN LONGUEUR

SAUT EN LONGUEUR

SAUT en longueur

Le saut en longueur

Définition de l'activité

Activité de bondissement qui consiste en une auto-projection du corps dans l'espace afin de franchir la plus grande distance possible à partir d'un appel 1 pied en deçà d'une ligne d'appel. L'activité peut donc se caractériser comme une liaison course d'élan – impulsion vers l'avant et le haut, l'appel se faisant sur un pied en deçà d'une ligne d'appel dont l'objectif est de projeter son corps le plus loin possible.

   Historique
Le saut en longueur est dans certaines parties du monde associé au saut d’un kangourou, mais l’être humain ne possède pas les mêmes facultés que cet animal et pourtant, il se défend bien dans cette discipline.
Ce sport est une épreuve d’athlétisme dont la particularité est de pouvoir parcourir la plus grande distance par le biais d’un saut avec élan ou sans, mais toujours en partant d’une ligne précise afin que tous les participants puissent être au même niveau.
Cette discipline est pratiquée depuis des siècles déjà, saviez-vous que le saut en longueur était déjà inscrit aux Jeux olympiques antiques (seuls les représentants des différentes cités grecques pouvaient y participer) au 8eme siècle avant J.C.
L’homme de tout temps à eu recours à cette pratique, depuis les temps préhistoriques, ne serait pour pouvoir s’échapper parcourir une distance faite d’obstacle, sauter une rivière et j’en passe.
Les records du monde
L'activité saut en longueur est une activité qui repose pour beaucoup sur les qualités de
vitesse du sauteur. Le record du monde en subit les conséquences, puisque l'évolution
des meilleures performances mondiales se fait relativement lentement :

HOMME
- 7,05m par J. LANE en 1874 
- 8,13m par J. OWENS en 1935
- 8,90m, le saut "historique" de B. BEAMON en 1968
- Record du monde actuel : 8,95m par M. POWELL en 1991
FEMME
-la Russe Galina CHISTYAKOVA avec une distance de 7,52 mètre

Règlement

1.   Le sautoir :
La piste d'élan aura une largeur minimum de 1,22m. La longueur de la course d'élan sera
illimitée. La longueur minimum à prévoir sera de 40 mètres. La tolérance maximale pour
l'inclinaison latérale des pistes ne devra pas dépasser 1/100 et l'inclinaison descendante
globale dans le sens de la course ne devra pas dépasser 1/1000.
La planche d'appel sera faite de bois ou de tout autre matériau approprié et mesurera
1,21 – 1,22m de long, 198 – 202 mm de large et 100 mm d'épaisseur. Elle sera peinte
en blanc.

La planche de plasticine (qui sert à vérifier si le saut est mordu).  Celle-ci consistera
en une planche rigide, d'une largeur de 98 à 102 mm et d'une longueur de 1,21 à 1,22 m
qui sera garnie à sa partie supérieure d'une couche de plasticine ou de tout autre matériau approprié. La face supérieure de cette couche s'élèvera, dans la direction de la course, selon un angle de 30° depuis le niveau de la planche d'appel pour atteindre une hauteur  maximum de 7 mm, par rapport à ce niveau. La couche de plasticine pourra être aplanie à l'aide d'un rouleau ou d'un grattoir approprié, afin d'effacer les empreintes faites pas les pieds des concurrents.
La zone de chute devra mesurer au moins 2,75 m de largeur et la piste d'élan devra, si possible, être placée de manière telle que son axe prolonge celui de la zone de chute.

1.     La mesure d'un saut

"Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres jusqu'à la ligne d'appel ou son prolongement, et perpendiculairement à cette ligne."
"Afin d'assurer un mesurage correct de chaque saut, il est essentiel que la surface du sable dans la zone de chute soit contrôlée correctement, en ce qui concerne son niveau avec la planche d'appel."

Cas particulier de mesure ou d'annulation du saut :

a) le sauteur a pris son appel sur la planche d'appel, mais retombe en dehors du prolongement de la piste d'élan tout en restant dans les limites de la zone de chute. La planche d'appel est prolongée latéralement et la mesure est prise perpendiculairement à cette ligne en suivant les règles habituelles

b) Le sauteur s'est élevé avant d'atteindre la planche d'appel. A partir du moment où la réception se fait dans la zone de chute, la mesure est effectuée mais à partir de la planche d'appel et non du point de départ du saut.

c) Le sauteur retombe dans la zone comprise entre la planche d'appel et la zone de chute (cas plus fréquent en triple-saut). Le saut est considéré comme non-valable

d) Lors de la réception, une partie du corps du sauteur touche en dehors de la zone de chute, plus près de la ligne d'appel que la marque laissée dans la zone de chute. Le saut est "manqué".

e) Même cas, mais la partie du corps touche plus loin que l'endroit de chute. Le saut est mesuré suivant le cas a)

f) Après la réception dans la zone de chute, le sauteur revient en arrière à l'intérieur de celle-ci. Le saut est "manqué".

g) Le sauteur prend son appel à l'extérieur de la piste d'élan à côté de la planche
d'appel. Le saut est "manqué".

Analyse technique

Le saut en longueur se constitue autour des trois phases classiques des sauts athlétiques
1) La course d'élan
2) La préparation à l'appel et l'appel
3) La phase aérienne

I.        La course d'élan

a-Longueur
En moyenne, elle comprend pour les meilleurs sauteurs et sauteuses entre 19 et 23 foulées ce qui correspond à plus de 40 mètres pour les hommes et 35 mètres pour les femmes. On constate que la longueur de la foulée en saut en longueur est plus importante qu'en course de vitesse.
b-Vitesse
Généralement, deux phases se succèdent : une liée au gain de vitesse (accélération)caractérisée par un axe du corps orienté vers l'avant et une recherche de vitesse, l'autre,qui lui succède, orientée par la recherche de l'attitude préparatoire au saut et au maintien de la vitesse acquise (les 6 à 8 dernières foulées).
c-Précision
Le seul fait de poser le pied au plus près de la ligne d'appel n'est pas l'objectif du sauteur. Si le sauteur pour ce faire, doit perdre de la vitesse ou piétiner à l'approche de la ligne d'appel, s'il est obligé de fixer le regard sur la planche et de créer, en conséquence une flexion dorsale, la précision obtenue ira à l'encontre des objectifs recherchés. Cette précision s'obtient donc sans nuire aux autres secteurs du saut. Le travail de répétition de la course et l'éventuelle adjonction de marques de passage intermédiaires semblaient jusqu'à maintenant un élément essentiel pour obtenir cette précision. Certains points sont maintenant soumis à la critique scientifique.
d-Attitude
L'attitude de course en saut en longueur se particularise de celle de vitesse tout en en gardant un certain nombre de caractéristiques :
_ Le bassin est très haut placé
 – le passage du bassin au-dessus de l'appui se fait jambe quasiment tendue et sur l'avant-pied afin de favoriser le maintien de la vitesse et de préparer le placement à l'appel
 – les genoux sont hauts et le cycle jambe de la foulée est un cycle antérieur
- Les bras sont relâchés et participent à l'équilibre général
- Le regard est horizontal.

La préparation à l'appel

Afin de produire une élévation lors de l'appel, on constate de la même manière qu'au Fosbury une recherche d'abaissement du CG. Sur l'avant-dernier appui. Cet abaissement doit cependant, en aucun cas, provoquer des ruptures dans le déplacement horizontal du sauteur
 – il s'inscrit dans la course, modifiant son aspect (foulée dite "boiteuse") mais pas la vitesse de déplacement. L'exécution juste de cette phase est un élément essentiel de la performance.
L'appel
La position du sauteur au moment précis où il touche la planche d'appel est une position
caractéristique :
• Le pied, est posé dans l'axe d'élan, soit à plat, soit avec une légère prédominance avant-pied, mais avec une prise d'avance significative.
• La jambe d'appel est presque complètement tendue et très oblique vers l'avant. Elle est posée activement par un petit mouvement qui l'a rabattue d'avant vers l'arrière(le griffé). Ce rabattement a pour objectif de diminuer l'effet de blocage sur la planche et donc de minimiser la perte de vitesse
• Le buste s'incline vers l'arrière, d'autant plus de la préparation à l'appel a été négociée sans heurt,
• La jambe libre est fléchie et à la traîne, l'écart entre les deux cuisses – le compas –est plus grand que dans la course d'élan.Pendant que le grand axe pivote autour du pied d'appel, le sauteur va chercher à se relever vers l'avant et vers le haut. Le bassin continue a progressé vers l'avant et même à monter sur une courbe à pente douce. Cette première phase d'appel se termine lors du
passage du CG. Au-dessus de l'appui. La 2ème phase d'appel se situe au-delà du passage du CG.
à la verticale du pied d'appel :
- le bassin poursuit son mouvement vers l'avant, mais il monte sur une pente plus raide
- le tronc résiste à la poussée ; il ne casse pas au niveau des hanches. Les segments libres jouent un rôle important dans l'absence de cassure en allégeant le corps parleur trajet et leur blocage.
- La jambe libre pointe vers l'avant et le haut par le genou
- La rotation longitudinale du bassin occasionnée par le lancer de jambe libre est compensé par une rotation inverse au niveau des épaules initiée par le bras opposé(main qui pointe devant l'œil comme pour regarder sa montre).

La phase aérienne et la réception

La phase aérienne se constitue dans deux temps d'action successifs :
 L’extension et le ramené.
L'extension – ou le pédalage qu'offrent certains sauteurs – a but fonction de minimiser la vitesse de rotation avant qui apparaît mécaniquement lors de l'appel. Celle-ci, si elle n'était pas contrôlée amènerait le sauteur à "piquer du nez" lors de la phase aérienne et le mettrait dans de mauvaises conditions pour effectuer le ramené.
Le ramené s'effectue relativement tardivement dans la trajectoire. Son objectif est de
"refaire" apparaître de la vitesse de rotation avant afin de permettre au sauteur de retomber au niveau de ses pieds et non en arrière comme l'absence de ramené le produirait.
Les deux phases font intervenir le même principe mécanique de conservation du moment cinétique (produit du moment d'inertie par la vitesse de rotation / axe défini). Dès que les auteur se retrouve en phase aérienne, et du fait qu'aucune aide extérieure peut lui être apportée, le moment cinétique sera constant. En étudiant les deux termes du produit, sil'un augmente, l'autre diminue et inversement. Ainsi, en augmentant le moment d'inertie(éloignement de masse / C G), la vitesse de rotation diminue, c'est la justification des opérations de la première phase. Plus le moment est faible, plus la vitesse augmente,c'est le principe de la 2ème.

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