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Règlements de Handball (leçon  N°3)

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Cycle de handball

·         * Le règlement de handball est composé de nombreuses règles .Cette leçon vous présentera le règlement simplifié qui sera utilisé durant vous cycle de Handball
*  Voyons  d’abord le terrain
L’aire de jeu est un rectangle de 4Om sur 20m comprenant une surface de jeu et deux surfaces de but.
ü  Les grandes  côté s’appel : les lignes de touche.
ü  Les petit  s’appel : les lignes de but.
ü  Le but est placé au milieu de chaque ligne de but. A trois mettre devant la surface de but une ligne est tracé en pointillé il s’agit de la ligne de jet-franc. Entre la ligne de jet franc et la surface de but un trait qui indique la marque de jet de 7m. Au milieu de terrain se situe la ligne Médiane, au milieu de laquelle le ballon est mis en jeu au début d’un match et après chaque but.
ü  Le joueur effectuantun engagementdoit se trouver avec un pied au moins sur la ligne médiane. Ses coéquipiers ne peuvent pas dépasser la ligne médiane avant le coup de sifflet.
*  Que se passe-t-il  lorsque le ballon sort de terrain
ü  Si une équipe sort le ballon en touche, l’adversaire remet le ballon en jeu à l’endroit où le ballon est sorti, en mettant un pied sur la ligne.
ü  Si un défenseur fait sortir le ballon derrière le linge sa ligne de but, un attaquant le remet en jeu par un jet de coin.
ü   Par contre si un attaquant ou le gardian qui a déviée le ballon derrière la ligne de but il n’y a pas de jet de coin, c’est le gardian qui prend le ballon et le remet en jeu.
*  Les joueurs on - t - ils le même rôle ?
-  Une équipe est composée de 7 joueurs  Maxim. Mais tous non pas les mêmes rôles ni les mêmes  règles.
-  Parmi les 7 joueurs l’équipe dispose d’un gardian de but et 6 joueurs de champ.
·       *  Alors voyons ce qui les différencié
-  Le gardian de but est le seul qui a le droit de pénétrer sur la surface de but. Dans cette surface le ballon appartient au gardian. Et les joueurs de champ non pas le droit de pénétrer, ni de mettre un pied sur la ligne.si c’est le cas le ballon est rendu au gardian.
-  Par contre un joueur de champ peut tir en suspension en sautant avant la ligne par-dessous du surf  ace de but s’il tire avant de retomber
            - Un joueur de champ n’a pas le droit de passer le ballon à son gardian si ce dernier se trouve dans sa surface     
          de but.
-  Le gardian de but peut quitter et revenir dans sa surface de but librement à condition  qu’il n’ait  pas le ballon. S’il se trouve  en dehors son coéquipier  peut lui passerle ballon mais il ne pourra pas donc y revenir dans sa surface avec le ballon.
-  Le gardian peut arrêter le ballon avec n’importe quelle partie de corps. Alors qu’un joueur de champ n’a pas le droit de jouer le ballon avec la partie du corps situé en dessous  de ses genoux.Sauf si le ballon était lancé par un adversaire.
-  Un joueur de champ n’a pas le droit de garder la balle plus de 3 seconds. Il n’a pas le droit de faire plus de 3 pas. s’il a le ballon à la main. Pour progresser avec la balle un joueur de champ peut dribler au temps qu’il le veut, mais  si il s’arrête de dribler alors il doit passer ou tirer.
-  Donc il est possible  de faire 3 pas et de dribler puis de refaire 3pas avant de passer ou tirer.
-  Le gardian de but lui n’est pas soumis à ses règles, il est libre de ses mouvements dans la surface de but
*  Voyons les fautes à ne pas commettre sur mon adversaire
ü  Aucune brutalité n’est permise
ü  Il est interdit : d’arracher le ballon au joueur adverse  ou de frapper le ballon  qu’il tient  entre ses mains.
ü  De barrer son chemin avec les bras, les mains ou les jambes ou de le repousser.
ü  de le retenir, de le ceinturer, de le pousser, de se jeter contre lui en courant ou en sautant
ü  tu peux gêner ton adversaire sans le retenir ni le frapper ni le pousser.
·         Quand tu brises une règle l’équipe adverse reçoit le ballon et le remet en jeu à l’endroit où tu as commis la faute. Alors ton équipe doit observait une distance de 3m au minimes par apport au ballon jusqu’à ce que tes adversaire  est effectuer un passe.
*  Si la faute est sifflée entre la surface de but et la ligne de jet franc ça veut dire entre la ligne 6m et 9m :
-  Le ballon sera remis  en jeu derrière la ligne de jet franc, pour cela toute l’équipe attaquante devra également  se positionné  derrière la ligne de jet franc jusqu’à ce que la première passe sera  effectuée, l’équipe en défense  elle devra donc se positionné sur la ligne de 6m pour respecter le distance des 3m.
-  Si on commettant une faute tu empêches manifestement ton équipe adverse de marqué  une but par exemple : en tenant le bras de l’adversaire lors qu’il tire. Son équipe aura le droit à un Penalty = jet de 7 mètres. Et là le joueur viendra se placer sur la marque de jet de 7m et devra tirer au but après le coup de sifflet de l’arbitre, aucun joueur ni attaquants ni défenseurs n’aurons le droit d’entrer dans la zone de 9m avant que le joueur tire.
*  Alors comporte toi toujours en joueur FAIR PLAY et agréable que ce soit avec  tes adversaires tes partenaires ou l’arbitre et ne met jamais en danger ton adversaire et si tu te comportes d’une façon Anti sportif ou si tu joues délibérément   de manière déloyale tu devras sortir tu terrain deux minutes au moins.

Lancer du javelot

Le lancer du javelot

Le lancer du javelot

Le lancer du javelot est une discipline de l’athlétisme consistant à envoyer un engin appelé javelot fait en métal, en fibre de verre ou de carbone, de forme allongée et pointue, le plus loin possible. Le « javelot » est l’une des disciplines du décathlon ou de l’heptathlon chez les femmes, et bien qu’il ne soit pas toujours représenté aux meetings en raison des règles de sécurité qui peuvent empêcher son bon fonctionnement, il fait parti des épreuves disputées lors des grandes compétitions comme les Jeux Olympiques, les Championnats du monde et d’Europe. 
Les lanceurs possèdent six essais ou trois essais, avec trois essais supplémentaires pour les huit meilleurs lors des finales de grand championnat. Les juges mesurent l’essai, s’il est validé, à partir de la ligne délimitant la zone d’élan, jusqu'au point d’impact du javelot. Pour qu’un essai soit validé, la pointe du javelot doit toucher en premier le sol au moment de l’impact, l’athlète ne doit pas « mordre »/franchir la zone d’élan.
Contrairement au lancer de disque, de marteau et de poids (pour les adeptes du lancer en rotation), le lanceur de javelot effectue une course d’élan rectiligne avant le lancer, en deux temps. Dans la phase dite d’élan, l’athlète réalise une course classique face à l’aire de lancer, le javelot placé sur le côté. Dans la phase dite de préparation, le lanceur se place de profil et se déplace en pas croisé, le javelot placé à la tempe et le bras lanceur armé derrière la tête. Dans l’ultime phase de la course d’élan, le bras lanceur est mis en tension par élasticité sur l’ultime double appui de la course d’élan. La course est ainsi arrêtée violemment, transmettant toute la vitesse de déplacement dans l’épaule qui se détend comme une catapulte propulsant le javelot.

Comment bien lancer le javelot ?

Effectuez la phase de pré projection.

  1. Attendez que le pied gauche touche le sol.
  2. Redressez le torse.
  3. Tournez le visage en direction du lancer. Le javelot et les épaules doivent être parallèles.
  4. Positionnez la main qui lance le javelot au-dessus de l'épaule.

Quelle est la longueur d'un javelot ?

Le javelot est fait d'une baguette de bois d'olivier de longueur variant de 2,3 à 2,4 mètres et est relativement léger : 400 grammes.

Comment mesurer un lancer de javelot ?

Tendre le ruban de telle sorte qu'il passe par le point 1, la lecture se fait sur le bord intérieur de l'arc de cercle et la mesure est annoncée au centimètre inférieur. Au lancer de javelot, l'athlète ayant fait la meilleure performance sera classé premier.

Quel est le record du monde du lancer de javelot ?

Les records du monde du lancer du javelot sont actuellement détenus par le Tchèque Jan Zelezný qui établit la marque de 98,48 m le 25 mai 1996 à Léna en Allemagne, et par sa compatriote Barbora Spotáková, créditée de 72,28 m le 13 septembre 2008 à Stuttgart en Allemagne.

Lancer de poids

Lancer de poids

Lancer de poids 

Lancer de poids

DESCRIPTION

Le poids, une boule de métal (7,26 kg/16 lb pour les hommes, 4 kg pour les femmes), est poussé – et non lancé – avec une main. Le but est de le pousser le plus loin possible à partir d’un cercle de 7 pieds (2,135 m) de diamètre, qui comporte un butoir courbé de 10 cm de haut à l’avant.

Pour que le lancer soit mesuré, le poids ne doit pas passer sous la ligne des épaules de l’athlète pendant l’exécution, et doit tomber à l’intérieur d’un secteur désigné de 35 degrés. L’athlète, pendant ce temps, ne doit pas toucher le dessus du butoir durant le lancer, ou quitter le cercle avant que le poids touche le sol, et puis, seulement par la moitié arrière du cercle.

Les athlètes lancent normalement quatre ou six fois par compétition. En cas d’égalité, le gagnant est l’athlète avec la meilleure deuxième performance.


course de vitesse


course de vitesse

Course de vitesse        

    Il s’agit d’atteindre sa vitesse maximale en un court laps de temps. La durée de  l’effort maximal d’un sprinter pour le 100m est d’environ dix secondes ; l’athlète doit donc maîtriser son énergie afin de garder assez de puissance pour les derniers mètres.
 Pour mener à bien sa course, le coureur doit ainsi concilier la fréquence et l’amplitude  de la foulée. 
          La course débute par une attitude de déséquilibre propre à un départ accroupi  dans les starting-blocks (les cales de départ adoptées en 1928). Ainsi, les plantes des  pieds prennent un point d’appui solide pour la poussée oblique des jambes. La  technique de départ est très importante : il s’agit de s’éjecter très vite des starting-blocks  et de rechercher d’entrée l’amplitude optimale de la foulée en assurant, grâce à la jambe  d’appui, une bonne poussée. 
         La vitesse obtenue doit être conservée sans aucun ralentissement jusqu’ au delà  de la ligne d’arrivée. Cette vitesse sera donc fonction de l’amplitude et de la fréquence  des foulées (longueur et nombre d’appuis par unité de temps). 

1.    Le départ (réagir de façon rapide et explosive à un signal.) 
2.      La mise en action. (le redressement   : ne doit pas être rapide )
3.    La course proprement dite (la conservation de la vitesse)(recherche un rapport optimum :amplitude/fréquence.)
     4.   L'arrivée

1- La réaction à un signal. 

La vitesse de réaction à un signal est primordiale en course de vitesse car dans le  cas contraire, il existe alors un moment important entre le signal et le début des actions  motrices, d’où une perte de temps. Ainsi, le coureur doit apprendre et sans cesse  s’entraîner à diminuer son temps de réaction afin d’améliorer sa performance. 

2- L’accélération. 

A partir d’une première enjambée courte les coureurs allongent progressivement  leurs foulées. De même, ils se redressent pour atteindre leur vitesse maximale. 

3.- La course à vitesse maximale. 

C’est une partie de la course. Le coureur reproduit un geste cyclique : la foulée, qu’il  tente de maintenir identique. On appelle foulée, le bond compris entre deux contacts  successifs (Gauche – Droit) avec le sol (posé). Celle-ci se compose d’une phase d’appui  et d’une phase de suspension. Le cycle (Gauche – Droit – Gauche) est composé d’une  phase d’appui et d’une phase de retour de la jambe libre. L’évaluation de la foulée peut  se faire par niveau, soit 5 niveaux d’habileté en fonction du viseur

4- L'arrivée

a – La phase d’appui 

Elle correspond au moment où le coureur pose son pied au sol. Elle est  caractérisée par trois mouvements successifs : 
 1- l’amortissement :   
D'un point de vue purement mécanique, l'amortissement débute à l'instant où le pied  entre en contact avec le sol et se termine au moment où la projection verticale du centre  de gravité coïncide avec la verticale de l'appui. Elle s'opère sur toute la surface du pied. 

  Le soutien :  
Il correspond au moment où le centre de gravité est à l'aplomb de l'appui au sol. Pendant  ce moment, la force tout entière est utilisée à soutenir le centre de gravité. Le soutien est  un instant privilégié pour l'observation. En effet, il permet de repérer l'attitude de course  (le coureur est haut ou bas ?). Cette phase doit être la plus courte possible. 
3  la poussée :  
D'un point de vue mécanique, la poussée commence au moment du soutien et se termine  au moment où le pied quitte le sol. La composante des forces exercées par le coureur sur  le sol est orientée dans le sens de son déplacement. C'est donc le moment moteur par  excellence.

    b – La phase de suspension

  La suspension est le résultat objectif des efforts produits lors de la phase d'appui  qui l'a précédée. Elle permet au coureur de réaliser des ajustements segmentaires  favorisant le maintien de son équilibre et la préparation des actions motrices à venir.  
La suspension commence au moment où le pied de poussée quitte le sol et se  termine au moment où l'athlète reprend appui. Pendant cette phase aérienne, le coureur  n'a aucun point de contact avec la piste. 

5- Le finish.

Il est caractérisé par le comportement que l’athlète doit adopter afin de ne pas  porter atteinte à sa performance du point de vue du chronométrage. Le coureur doit  donc maintenir son effort au-delà de la distance à parcourir. 
Or, chez les débutants, il est fréquent de les voir ralentir ou même, dans les cas  les plus extrêmes, s’arrêter avant la ligne d’arrivée. Ce qui pose un problème  d’apprentissage. 
 LOGIQUE INTERNE
            C’est une course continue à une vitesse de déplacement élevée (maximale) sur une surface plane d’un point de départ jusqu'à la ligne d’arrivée.
 PROBLÈME FONDAMENTAL
              Trouver le meilleur rapport fréquence / amplitude de la foulée compatible avec un effort d’intensité maximale
ENJEU DE FORMATION
              Connaître ses limites et  les remettre en causes pour pouvoir les dépasser.
              Intérioriser les rythmes de course.

         Logique de comportement de l’élève:


1      Question: 
  Devant quelles contradictions l’élève doit il être placé pour qu’il s’approprie l’essentiel de l’APS course de vitesse?
     En prenant le risque d’intensité incontrôlable pour élargir l’espace et raccourcir le temps ; l’élève dans la construction de son action doit prendre des décisions très précises ; plus rapide ; dans des conditions physiques et sociales plus perturbantes.
              Il doit donc :
 Assurer contradictoirement un équilibre efficace entre l’investissement énergique et le contrôle de cet investissement.
  Il s’agit donc :
                D'un point de vue bio énergétique 
  De faire des efforts intenses pour aller à ses limites et contrôler ses efforts pour se montrer efficace et réaliser ses performances.
D'un point de vue biomécanique
De réaliser la continuité de déplacement par la plus grande vitesse et d’éviter toute discontinuité spatiale et temporelle dans ce déplacement.
*            D'un point de vue bio informationnel 
De prendre des informations plus précises en ne se disposant que de peu du temps ; afin de les analyser ; choisir et prendre des décisions adéquates.
*           D'un point de vue bio affectif 
Concilier affectivement entre le sentiment de compétence lié à la réussite dans l’action et le doute de soi lié à la remise en cause de ces limites.

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