Latest Post

Cycle du Handball 1 BAC


        Clique ICI pour télécharger le cycle du handball 1 BAC 


Compétences attendues

CONNAISSANCES : informations

-  principes généraux d'attaque et de défense et de leur interaction ;
- gestion des ressources durant la rencontre ;
- indices à prélever et analyser pour faire des choix efficaces ;
- importance du relationnel et de l'affectif dans une activité collective de contact compétitive et ludique ;
- évolution du handball ;
- règlement, sa logique, son évolution ;

- nécessité et moyens de la maîtrise de l'engagement physique

CONNAISSANCES : procédures

Techniques et tactiques

L'équipe aide le porteur face à une défense qui réduit son espace de jeu pour récupérer la balle.
Par rapport au niveau 1, ne sont abordés ici que les axes de complexification.
Défense :
L'équipe choisit et travaille un type de défense parmi :
- défense homme à homme ;
- défense en 2 lignes entre 6 et 12 m ;
- zone (0-5, 1-4) pour :
- interdire l'accès au but et protéger le secteur central ;
- récupérer le ballon en exerçant une forte pression (gêner, ralentir, dissuader, intercepter) ;
- jouer la contre attaque (seul ou à plusieurs).
Attaque :
- elle augmente le potentiel d'action, de vitesse d'exécution et organise la réalisation et l'utilisation d'actions pour et par les partenaires ;
- les joueurs apprennent à réaliser et à utiliser :
- les blocages, écrans, croisés,
- les phases statiques de jeu (jet franc).
Gardien de but :

- fait l'objet d'un entraînement spécifique qui pourra concerner tous les joueurs.

Connaissance de soi

Avant la rencontre :
- se prépare physiquement (échauffement général et spécifique).
Pendant la rencontre :
- utilise de façon optimale les ressources possédées au regard des modalités d'actions possibles ;
- maîtrise l'ensemble des réactions émotionnelles : agressivité envers l'ensemble des joueurs et arbitres, affectivité due au contact ;
- adapte ses choix à l'évolution du jeu.
A la fin de la rencontre:

- apprécie objectivement le niveau de sa prestation.

Savoir-faire sociaux

- se forme au rôle d'arbitre (règlement, placement, gestes, attitude) ;
- observe : recueille les données pour élaborer un projet collectif ;
- manage : pendant et après l'action, se concerte et analyse pour être efficace ;
- intègre de façon rigoureuse les règles liées à l'activité.
- construit collectivement des règles propres au fonctionnement de l'équipe : accepter la défaite, accepter et respecter les décisions de l'arbitre, faire et accepter les critiques constructives, respecter l'adversaire, accepter les erreurs de ses partenaires..
- respecte l'adversaire, l'arbitre et les règles en tant que spectateur.

Cycles Saut en Longueur [  حلقة القفز الطولي ]

Cycles Saut en Longueur

Voici un  cahier journalier  du  Saut en Longueur 2019 2020

Cliquez ici pour l'avoir 
 
 إشارة مهمة جدا لجميع الأساتذة الكرام فقط أطلب من الحارس العام لمؤسستك أن يعطيك لائحة التلاميذ الجديدة و قم بفتحها و فتح هذا الملف لتحصل على قائمة التلاميذ الذين يدرسون في مؤسستك و بذلك تحصل على دفتر اليوميات بدون تعب.

Voici un fiche d'observation pour ce cycle

Cliquez  ici pour le télécharger  

نفس الشيئ مع هذا الملف فقط إفتحه مع لائحة التلاميذ و ستحصل على قائمة التلاميذ لكل قسم و يجب الإشارة إلى أن ملف لائحة التلاميذ التي ستسلم لك من طرف الحارس العام في مؤسستك قم بحذف التاريخ من عنوان الائحة و التي تكون بصيغة excel و جعله كالتالي: 

Le  CYCLE DE  SL  1AC

Cliquez ici pour le télécharger  

Le  CYCLE DE  SL  2AC

Cliquez ici pour le télécharger  

Le  CYCLE DE  SL  3AC

cliqueicipour le télécharger  

-1-RÈGLES COMMUNES AUX SAUTS EN LONGUEUR ET AU TRIPLE SAUT

1-Le sautoir 

Il comprend :

2- Cas de nullité d’un saut (cf. schéma 3)

Un saut est considéré comme manqué si le sauteur :
Cycles Saut en Longueur

 3 -délais pour les essais

Le temps accordé à un athlète devant effectuer un essai ne devrait pas dépasser Une minute (mn)

4-Essais différés

Aucun concurrent ne sera autorisé à avoir plus d’un essai différé pour un tour quelconque de la compétition.

5- Mesurage des sauts :

Tous les sauts seront mesurés à partir delà marque la plus proche faite dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres jusqu'à la ligne d’appel (ou à ses prolongement latéraux pour les sauts très désaxés et perpendiculairement à celle-ci (cf. schéma 3 sauteur E et F).

6-La lecture des performances

Pour tout essais valable, on place une fiche métallique en position verticale à l’endroit de l’empreinte laissée par le concurrent dans la zone de chute la plus prés de la ligne d’appel. La boucle du ruban métallique gradué est passée dans cette fiche de telle sorte que « le zéro » se situe sur la fiche. Ce ruban est tendu bien horizontalement en faisant de sorte qu’il ne passe sur aucune élévation du sol. La lecture se fait à l’aplomb de la ligne d’appel.

7- CLASSEMENT

Gagne le concours celui qui bondit à la plus grande distance.
En cas d’ex-aequo, les concurrents seront départagés comme suit :
On considérera la deuxième meilleure performance effectuée par les concurrents pour les départager. Ensuite si nécessaire la troisième meilleure et ainsi de suite. 
Si l'exaequo persiste et s’il s’agit de la première place les concurrents ayant obtenu le même résultat devront concourir à nouveau dans le même ordre pour un nouvel essai,
jusqu'à ce qu’ils soient départagés.
Il doit être attribué à chaque concurrent le meilleur résultat de tous ses essais supplémentaires pour décider de la première place.

RÈGLES PARTICULIÈRES AU SAUT EN LONGUEUR  

1- La nature du saut Le saut en longueur se caractérise par une course d’élan, d’une impulsion sur la-La planche d’appel 
2-La planche d’appel.
3- la vitesse du vent L’appareil de mesure de la vitesse du vent est appelé l’anémomètre. 
Les périodes pendant lesquelles la vitesse du vent doit être mesurée sont les suivantes :
 Au saut en longueur la vitesse du vent doit être mesurée pendant une période de cinq second (5 s)

NB 1  si la vitesse du vent mesurée dans la direction de la course derrière le concurrent dépasse 2 m/s le record ne sera pas homologué.

NB 2 il est rappelé qu’il faut prévoir l’emplacement d’une manche à air indiquant le sens et la force du vent.  

Saut en Longueur 

saut en longueur technique

رياضة القفز الطوليّ والتي تُسمّى أيضاً برياضة الوثب الطولي، ويمكن تعريف القفز الطولي بأنّه: أحد الرياضات الأولمبيّة والتي تعتمد على فكرة القفز لأبعد مسافة ممكنة، حيث يختلف الرقم القياسيّ للرجال عنه لدى النساء، فالمعتمد للرجال هو 8.95م والذي سجّله اللاعب الأمريكي مايكل باويل في المنافسة التي أجريت في طوكيو في 30 أغسطس من عام 1991م، أمّا النساء فالرقم القياس لهن هو 7.52م حيث سجّلته اللاعبة الروسية غالينا تشيستياكوفا في المنافسة التي جرت في روسيا في 11 يوليو لعام 1988 م. 
ظهرت هذه الرياضة من قديم الزمان في عهد الإغريق وذلك لحاجتهم إلى تلك الرياضة والتي تساعدهم في عبورهم للأنهار، والخنادق، والحواجز التي تعترضهم أثناء الحرب والسلم، وكان لهذه الرياضة أهمّية كبيرة في القديم حيث كانت تجرى ضمن برنامج المسابقة الخماسيّة في الأعياد الأولمبيّة.
قانون اللعبة تتميّز قوانين لعبة القفز الطولي أنّها سهلة عند تعدادها ولكنها صعبةٌ عند القيام بتطبيقها وهي كالتالي:
 الجري في المكان المخصّص له، ومن ثم زيادة السرعة بشكلٍ تدريجيّ كي تساعد القافز على دفع جسمه إلى الأمام.
 القفز عند العلامة دون لمسها (الخط الأحمر).
 عند قيام المنافس بالقفز لا يسمح له بالرجوع إلى الخلف أيّ خطوة
العوامل المؤثرة في الوثب الطويل الوثب الطويل يعتبر من أسهل الرياضات من ناحية الشكل الخارجيّ للرياضة، أمّا إذا أمعنّا التركيز في  طريقة الوثب الطويل لتوصّلنا إلى أنّه يعتمد على قانون المقذوفات حيث يعتمد على: 
سرعة انطلاق اللاعب
زاوية انطلاق اللاعب لحظة الارتقاء.
 زيادة مركز ثقل جسم اللاعب عند أعلى نقطة في قوس الطيران.
مقاومة الجاذبية لجسم اللاعب وهو في الهواء. 
المراحل الفنية للقفز الطولي
 الاقتراب: وهي أهم مرحلة من مراحل الوثب حيث إنها تحدد نجاح أو فشل الوثبة، وتهدف هذه الخطوة لوصول اللاعب إلى الوضع المثاليّ بأكبر سرعة ممكنة، فهي تبدأ بأوّل خطوة في الاقتراب وتنتهي بارتطام قدم اللاعب بلوح الاقتراب، وتتراوح مسافة الاقتراب عادة ما بين 25 و40م. 
الارتقاء: يقوم المتسابق في هذه المرحلة بدفع لوحة الارتقاء بقوّة وسرعة وذلك بمجرد أن تتعدى الرجل الحرّة رجل الارتقاء. 
الطيران: وهي المرحلة التي تفصل بين ارتقاء اللاعب وهبوطه، حيث تخضع هذه الحركة إلى قانون المقذوفات. 
الهبوط: وهي المرحلة الأخيرة حيث يسعى اللاعب للحصول على أطول مسافة أفقيّة ممكنة، حيث تمتد الرجلان تماماً وتهبط الذراعان نحو الأسفل، وعند لمس الكعبين لحفرة الوثب يتقدّم مركز ثقل الجسم ليكون فوق القدمين مباشرةً، وترفع الذراعان للأعلى للوقوف على 
القدمين.




SAUT EN LONGUEUR

SAUT EN LONGUEUR


SAUT EN LONGUEUR

I- Règlement

     1- Piste d’élan et sautoir

Le règlement international fixe tout d’abord les limites à l’intérieur desquelles le sauteur pourra s’exprimer.
Relevons maintenant les règles principales régissant ce concours.

SAUT EN LONGUEUR

2- Nombre d’essais
S’il y a huit participants au plus, tous disposent de six essais. Au-delà, chacun aura droit à trois essais et les huit meilleurs pourront réaliser trois essais supplémentaires.

    3- cas de nullité

Il nous a paru intéressant de reproduire le schéma illustrant le mesurage des sauts

SAUT EN LONGUEUR



Sauteur A : Appel sur la planche valable.

Sauteur B : Appel sur la planche valable, mais la réception est en dehors du prolongement de la piste d’élan. On prolonge la ligne d’appel, et on mesure perpendiculairement à cette ligne prolongée.
Sauteur C : Appel avant la planche (C’) valable. La mesure se fait depuis la ligne d’appel.
Sauteur D : Il retombe avant la fosse (cas du triple saut) essai nul.
Sauteur E : Sa main touche en E’ hors de la zone de chute et en deçà de sa marque: essai nul.
Sauteur F : Sa main touche en F’ hors de la zone de chute, mais au-delà de sa marque : essai valable, mais mesurage comme en B.
Sauteur G : Après la réception dans la zone de chute, il revient en arrière à l’intérieur de celle-ci essai nul.
Sauteur H : Il a pris son appel à côté de la planche d’appel et à l’extérieur de la piste d’élan en H’ : essai nul.

    4- Mesurage des sauts

Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche faite dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres, jusqu'à la ligne d’appel et perpendiculairement à cette ligne.

    5- Classement ex-æquo

C’est le meilleur des six sauts effectués qui détermine la performance finale.
En cas d’ex æquo, la deuxième meilleure performance départage les concurrents; si l’ex æquo subsiste, c’est la troisième meilleure performance qui est prise en compte et ainsi de suite.

    7- Technique

SAUT EN LONGUEUR

CRITÈRES DE RÉUSSITE

1.  Liaison course-impulsion sans perte de vitesse.
2. Étalonnage, Course progressive et accélérée dans l’axe et sans piétinement.  
3.  Griffé et impulsion explosive  vers l’avant et le haut.
4.   se réceptionner sur les deux jambes «  position assise »

SAUT EN LONGUEUR

SAUT EN LONGUEUR

SAUT en longueur

Le saut en longueur

Définition de l'activité

Activité de bondissement qui consiste en une auto-projection du corps dans l'espace afin de franchir la plus grande distance possible à partir d'un appel 1 pied en deçà d'une ligne d'appel. L'activité peut donc se caractériser comme une liaison course d'élan – impulsion vers l'avant et le haut, l'appel se faisant sur un pied en deçà d'une ligne d'appel dont l'objectif est de projeter son corps le plus loin possible.

   Historique
Le saut en longueur est dans certaines parties du monde associé au saut d’un kangourou, mais l’être humain ne possède pas les mêmes facultés que cet animal et pourtant, il se défend bien dans cette discipline.
Ce sport est une épreuve d’athlétisme dont la particularité est de pouvoir parcourir la plus grande distance par le biais d’un saut avec élan ou sans, mais toujours en partant d’une ligne précise afin que tous les participants puissent être au même niveau.
Cette discipline est pratiquée depuis des siècles déjà, saviez-vous que le saut en longueur était déjà inscrit aux Jeux olympiques antiques (seuls les représentants des différentes cités grecques pouvaient y participer) au 8eme siècle avant J.C.
L’homme de tout temps à eu recours à cette pratique, depuis les temps préhistoriques, ne serait pour pouvoir s’échapper parcourir une distance faite d’obstacle, sauter une rivière et j’en passe.
Les records du monde
L'activité saut en longueur est une activité qui repose pour beaucoup sur les qualités de
vitesse du sauteur. Le record du monde en subit les conséquences, puisque l'évolution
des meilleures performances mondiales se fait relativement lentement :

HOMME
- 7,05m par J. LANE en 1874 
- 8,13m par J. OWENS en 1935
- 8,90m, le saut "historique" de B. BEAMON en 1968
- Record du monde actuel : 8,95m par M. POWELL en 1991
FEMME
-la Russe Galina CHISTYAKOVA avec une distance de 7,52 mètre

Règlement

1.   Le sautoir :
La piste d'élan aura une largeur minimum de 1,22m. La longueur de la course d'élan sera
illimitée. La longueur minimum à prévoir sera de 40 mètres. La tolérance maximale pour
l'inclinaison latérale des pistes ne devra pas dépasser 1/100 et l'inclinaison descendante
globale dans le sens de la course ne devra pas dépasser 1/1000.
La planche d'appel sera faite de bois ou de tout autre matériau approprié et mesurera
1,21 – 1,22m de long, 198 – 202 mm de large et 100 mm d'épaisseur. Elle sera peinte
en blanc.

La planche de plasticine (qui sert à vérifier si le saut est mordu).  Celle-ci consistera
en une planche rigide, d'une largeur de 98 à 102 mm et d'une longueur de 1,21 à 1,22 m
qui sera garnie à sa partie supérieure d'une couche de plasticine ou de tout autre matériau approprié. La face supérieure de cette couche s'élèvera, dans la direction de la course, selon un angle de 30° depuis le niveau de la planche d'appel pour atteindre une hauteur  maximum de 7 mm, par rapport à ce niveau. La couche de plasticine pourra être aplanie à l'aide d'un rouleau ou d'un grattoir approprié, afin d'effacer les empreintes faites pas les pieds des concurrents.
La zone de chute devra mesurer au moins 2,75 m de largeur et la piste d'élan devra, si possible, être placée de manière telle que son axe prolonge celui de la zone de chute.

1.     La mesure d'un saut

"Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche dans la zone de chute par une partie quelconque du corps ou des membres jusqu'à la ligne d'appel ou son prolongement, et perpendiculairement à cette ligne."
"Afin d'assurer un mesurage correct de chaque saut, il est essentiel que la surface du sable dans la zone de chute soit contrôlée correctement, en ce qui concerne son niveau avec la planche d'appel."

Cas particulier de mesure ou d'annulation du saut :

a) le sauteur a pris son appel sur la planche d'appel, mais retombe en dehors du prolongement de la piste d'élan tout en restant dans les limites de la zone de chute. La planche d'appel est prolongée latéralement et la mesure est prise perpendiculairement à cette ligne en suivant les règles habituelles

b) Le sauteur s'est élevé avant d'atteindre la planche d'appel. A partir du moment où la réception se fait dans la zone de chute, la mesure est effectuée mais à partir de la planche d'appel et non du point de départ du saut.

c) Le sauteur retombe dans la zone comprise entre la planche d'appel et la zone de chute (cas plus fréquent en triple-saut). Le saut est considéré comme non-valable

d) Lors de la réception, une partie du corps du sauteur touche en dehors de la zone de chute, plus près de la ligne d'appel que la marque laissée dans la zone de chute. Le saut est "manqué".

e) Même cas, mais la partie du corps touche plus loin que l'endroit de chute. Le saut est mesuré suivant le cas a)

f) Après la réception dans la zone de chute, le sauteur revient en arrière à l'intérieur de celle-ci. Le saut est "manqué".

g) Le sauteur prend son appel à l'extérieur de la piste d'élan à côté de la planche
d'appel. Le saut est "manqué".

Analyse technique

Le saut en longueur se constitue autour des trois phases classiques des sauts athlétiques
1) La course d'élan
2) La préparation à l'appel et l'appel
3) La phase aérienne

I.        La course d'élan

a-Longueur
En moyenne, elle comprend pour les meilleurs sauteurs et sauteuses entre 19 et 23 foulées ce qui correspond à plus de 40 mètres pour les hommes et 35 mètres pour les femmes. On constate que la longueur de la foulée en saut en longueur est plus importante qu'en course de vitesse.
b-Vitesse
Généralement, deux phases se succèdent : une liée au gain de vitesse (accélération)caractérisée par un axe du corps orienté vers l'avant et une recherche de vitesse, l'autre,qui lui succède, orientée par la recherche de l'attitude préparatoire au saut et au maintien de la vitesse acquise (les 6 à 8 dernières foulées).
c-Précision
Le seul fait de poser le pied au plus près de la ligne d'appel n'est pas l'objectif du sauteur. Si le sauteur pour ce faire, doit perdre de la vitesse ou piétiner à l'approche de la ligne d'appel, s'il est obligé de fixer le regard sur la planche et de créer, en conséquence une flexion dorsale, la précision obtenue ira à l'encontre des objectifs recherchés. Cette précision s'obtient donc sans nuire aux autres secteurs du saut. Le travail de répétition de la course et l'éventuelle adjonction de marques de passage intermédiaires semblaient jusqu'à maintenant un élément essentiel pour obtenir cette précision. Certains points sont maintenant soumis à la critique scientifique.
d-Attitude
L'attitude de course en saut en longueur se particularise de celle de vitesse tout en en gardant un certain nombre de caractéristiques :
_ Le bassin est très haut placé
 – le passage du bassin au-dessus de l'appui se fait jambe quasiment tendue et sur l'avant-pied afin de favoriser le maintien de la vitesse et de préparer le placement à l'appel
 – les genoux sont hauts et le cycle jambe de la foulée est un cycle antérieur
- Les bras sont relâchés et participent à l'équilibre général
- Le regard est horizontal.

La préparation à l'appel

Afin de produire une élévation lors de l'appel, on constate de la même manière qu'au Fosbury une recherche d'abaissement du CG. Sur l'avant-dernier appui. Cet abaissement doit cependant, en aucun cas, provoquer des ruptures dans le déplacement horizontal du sauteur
 – il s'inscrit dans la course, modifiant son aspect (foulée dite "boiteuse") mais pas la vitesse de déplacement. L'exécution juste de cette phase est un élément essentiel de la performance.
L'appel
La position du sauteur au moment précis où il touche la planche d'appel est une position
caractéristique :
• Le pied, est posé dans l'axe d'élan, soit à plat, soit avec une légère prédominance avant-pied, mais avec une prise d'avance significative.
• La jambe d'appel est presque complètement tendue et très oblique vers l'avant. Elle est posée activement par un petit mouvement qui l'a rabattue d'avant vers l'arrière(le griffé). Ce rabattement a pour objectif de diminuer l'effet de blocage sur la planche et donc de minimiser la perte de vitesse
• Le buste s'incline vers l'arrière, d'autant plus de la préparation à l'appel a été négociée sans heurt,
• La jambe libre est fléchie et à la traîne, l'écart entre les deux cuisses – le compas –est plus grand que dans la course d'élan.Pendant que le grand axe pivote autour du pied d'appel, le sauteur va chercher à se relever vers l'avant et vers le haut. Le bassin continue a progressé vers l'avant et même à monter sur une courbe à pente douce. Cette première phase d'appel se termine lors du
passage du CG. Au-dessus de l'appui. La 2ème phase d'appel se situe au-delà du passage du CG.
à la verticale du pied d'appel :
- le bassin poursuit son mouvement vers l'avant, mais il monte sur une pente plus raide
- le tronc résiste à la poussée ; il ne casse pas au niveau des hanches. Les segments libres jouent un rôle important dans l'absence de cassure en allégeant le corps parleur trajet et leur blocage.
- La jambe libre pointe vers l'avant et le haut par le genou
- La rotation longitudinale du bassin occasionnée par le lancer de jambe libre est compensé par une rotation inverse au niveau des épaules initiée par le bras opposé(main qui pointe devant l'œil comme pour regarder sa montre).

La phase aérienne et la réception

La phase aérienne se constitue dans deux temps d'action successifs :
 L’extension et le ramené.
L'extension – ou le pédalage qu'offrent certains sauteurs – a but fonction de minimiser la vitesse de rotation avant qui apparaît mécaniquement lors de l'appel. Celle-ci, si elle n'était pas contrôlée amènerait le sauteur à "piquer du nez" lors de la phase aérienne et le mettrait dans de mauvaises conditions pour effectuer le ramené.
Le ramené s'effectue relativement tardivement dans la trajectoire. Son objectif est de
"refaire" apparaître de la vitesse de rotation avant afin de permettre au sauteur de retomber au niveau de ses pieds et non en arrière comme l'absence de ramené le produirait.
Les deux phases font intervenir le même principe mécanique de conservation du moment cinétique (produit du moment d'inertie par la vitesse de rotation / axe défini). Dès que les auteur se retrouve en phase aérienne, et du fait qu'aucune aide extérieure peut lui être apportée, le moment cinétique sera constant. En étudiant les deux termes du produit, sil'un augmente, l'autre diminue et inversement. Ainsi, en augmentant le moment d'inertie(éloignement de masse / C G), la vitesse de rotation diminue, c'est la justification des opérations de la première phase. Plus le moment est faible, plus la vitesse augmente,c'est le principe de la 2ème.

Le saut en longueur

Le saut en longueur

Le saut en longueur

DÉFINITION ET LOGIQUE INTERNE

Le saut en longueur consiste à franchir la plus longue distance en  un seul bond après une course d’élan, une prise d’appel sur une  marque (planche) et une réception dans une fosse.

PRINCIPES ET REGLES D'ACTION

1/ la course d’élan :

- doit être progressivement accélérée
- le rythme d’appuis s’accélère, les appuis brefs en fin de course
- la course doit être relâchée
- la vitesse optimale, obtenue dans les 3 dernières foulées

+ L’avant dernier appui :
- c’est un des points clés du saut en longueur. Il faut monter vers  lavant mais loin

- un abaissement plus au moins grand de centre de gravité sur  lavant dernier appui

+ La dernière foulée :
- elle plus courte que lavant dernière foulée
- elle est la conséquence d’un abaissement de C.G sur lavant  dernier appui avec un rythme parfais sur les 3 derniers appuis

2/ l’impulsion :

Si la course d’élan est correcte, il évitera l’impulsion en piston.
+ Le griffe : la pied d’appel posé en avant du bassin dans l’axe de  la course dans un mouvement de griffée. Le pied d’appel se rabat  sur la planche dans un mouvement très rapide et rasant.
+ La poussée : l’athlète doit avoir l’impression d’être catapulté
vers l’avant puis de prolonger la poussée en suspension.

3/ la suspension :

En longueur c’est la phase du grandissement

4/ la chute :

Le plus loin possible par une extension des jambes dur les cuisses

PROBLÈME FONDAMENTAL

Dans la pratique du saut en longueur, le problème fondamental et  l’établissement dune relation entra la course d’élan et l’impulsion.

ENJEU DE FORMATION

+ Dans le domaine moteur : 
- développer la capacité de la perception du corps dans l’espace  et le temps
- développer des capacités organiques
- développer des capacités de maîtrise des déplacements
-  développement de l’équilibre général, coordination général et la vitesse de réaction

+ Dans le domaine cognitif :
-  développer la connaissance de vocabulaire en rapport avec le  corps humain, les termes proposés         au  saut ainsi que le  règlement relatif a l’activité.

+ Dans le domaine socio affectif :
- confiance en soit, prise de l’initiative et la maîtrise
émotionnelle.

l'air de jeu 
l'air de jeu
 comment mesurer les performances 
comment mesurer les performances

Les bonnes chutes 

Les bonnes chutes

Badminton بقلم عثمان عزوز و محمد أمسكال

Badminton  بقلم عثمان عزوز و محمد أمسكال

Badminton

Définition de badminton 

Le badminton Écouter est un sport de raquette qui oppose soit deux joueurs (simples), soit deux paires (doubles), placés dans deux demi-terrains séparés par un filet. Les joueurs, appelés Badistes, marquent des points en frappant un volant à l'aide d'une raquette afin de le faire tomber dans le terrain adverse. L'échange se termine dès que le volant touche le sol ou reste accroché dans le filet.
Le volant est un projectile aux propriétés aérodynamiques uniques qui lui donnent une trajectoire très différente des balles utilisées dans la plupart des sports de raquette. En particulier, les plumes créent une traînée bien plus importante, causant une décélération plus rapide. Le vent ayant beaucoup d'influence sur cette trajectoire, car la masse d'un volant est généralement d'environ 5 grammes, le badminton est toujours pratiqué en intérieur.

L’histoire de Badminton  (pratique)

Depuis 1992, le badminton est un sport olympique qui se décline en 5 disciplines : simple hommes, simple dames, double hommes, double dames et double mixte.À haut niveau, il nécessite une excellente condition physique ainsi que de très bonnes qualités techniques et tactiques.C'est le sport de raquette le plus rapide du monde, il est fréquent de voir une douzaine d'échanges en double en moins de 10 secondes. Le record de vitesse pour un volant en compétition est depuis le 11 janvier 2017 par MadsPieler Kolding, joueur danois de double hommes, qui a frappé le volant à la vitesse détenu de 426 km/h. Le Malaisien Tan Boon Heong, également joueur de double hommes, a, pour sa part, propulsé un volant à 493 km/h en sortie de raquette en conditions optimales, établissant ainsi le record Guinness actuel, battant ainsi l'ancien record de 421 km/h qu'il avait également établi.




Définition de Tir à L'arc [ Ameskal Mohamed & Othman Azzouz]

Définition de Tir à L'arc   [ Ameskal  Mohamed & Othman Azzouz]

Définition de Tir à L'arc

Définition de Tir à L'arc         

    Le tir à l'arc est un sport de précision et de concentration dans lequel les compétiteurs tentent de tirer leurs flèches au centre d'une cible avec leur arc. Historiquement, le tir à l'arc a été utilisé pour la chasse et le combat, tandis que dans les temps modernes, son utilisation principale est celle d'une activité sportive. Une personne qui pratique le tir à l'arc est appelée un archer.........

Le tir à l'arc est un sport olympique. Lors des compétitions, hommes et femmes sont séparés

L’histoire de tir à l’arc

Pendant 10 000 ans au moins, le tir à l'arc était pratiqué pour chasser ou faire la guerre. 
Vers 1500, devient alors un loisir puis un sport à part entière. 
L'une des premières compétitions se déroule en 1583, en Angleterre, avec l'arrivée de l'arquebuse entraîne une disparition progressive de l'utilisation guerrière de l'arc. 
Le tir à l'arc plus de 3 000 participants. À partir du xixe siècle on tire à l'arc pour le loisir, bien que l’utilisation pour la chasse ne disparaisse pas complètement.
 La chasse à l'arc est maintenant redevenue populaire au Canada.
 Les compétitions de tir à l'arc faisaient déjà partie des Jeux olympiques de 1900, 1904, 1908 et 1920 puis, après une longue interruption, le tir à l'arc y fut réintroduit en 1972.

Les règles du handball

RÈGLEMENT HAND-BALL 
But du jeu* marquer des buts.* empêcher l’adverse d'en marquer   
Terrain


Spécificité par rapport aux autres sports collectifs :

• Cible verticale protégée par un gardien et une zone interdite.
• Manipulation du ballon limitée (marcher, dribble)
• Tenue du ballon à une main.
• Ballon imprenable par le défenseur  mais temps limité pour le donner.

LE BALLON

Garçons plus de 16 ans :                                                          Taille 3
Filles plus de 16 ans et garçons 14 à 16 ans :                         Taille 2
Filles 8 à 14 ans et garçons 8 à 12 ans :                                 Taille 1
Moins de 8 ans :                                                           Taille 0 

hypnosport

Formulaire de contact

Nom

E-mail *

Message *

Fourni par Blogger.
Javascript DisablePlease Enable Javascript To See All Widget