Latest Post

ATD



L ANALYSE ET TRAITEMENT DIDACTIQUE DE L ENDURANCE  

L’endurance :
*Analyse didactique :

Définition :
Type d’effort quantitatif à dominante organique et psychique. Faculté d’ordre général régie par le principe d’économie dans l’effort.

Problème fondamental :
Faire progresser sa vitesse de déplacement la plus élevée possible compatible avec la maîtrise des contraintes caractéristiques de l’endurance a fin de réaliser une performance optimale.

Enjeux de formation :

1-  Sur le plan psychomoteur :
*Amélioration des qualités physiologique qui se situent au niveau des grandes fonctions cardio-vasculaires et pulmonaires.
*Développement d’une bonne attitude de course

2- Sur le plan cognitif :
*Connaissance de l’importance de l’endurance dans le développement des qualités physiologique.
*Apprendre à prendre les pulsations cardiaques
*Connaissance du soi
*Savoir réguler son rythme respiratoire.
*Savoir réguler son allure.

2-  Sur le plan socio affectif :
*L’adaptation au milieu et l’intégration dans le groupe.

Logique interne :
La course en durée c’est soutenir un effort longtemps sans se fatiguer et sans que le rythme cardiaque atteigne un niveau élevée. Ce régime de course qui équilibre apports et dépenses d’oxygène est accompagné par l’efficacité de la foulée et le relâchement musculaire et la conservation de la même allure.

Traitement didactique :
     1- Logique du comportement de l’élève :

*L’élève ne maintien pas une course régulière (changement de rythme).
*L’élève lutte pour la place.
*L’élève ne répartie pas ses efforts sur le temps et la distance  il court une distance a un rythme élevé  puis il s’arrête.
*L’élève court crisper – pas de synchronisation – pas de dissociation segmentaire – balancement des bras tendus. – projection de la jambe libre tendu ou trop fléchie – course fléchie tronc penché vers l’avant – amplitude de la foulée : foulées par fois courtes par fois amples.


Fiche d'évaluation pour le test navette

groupes
Nom et Prénom
Plan procédural
Plan comportemental
Plan conceptuel
Nombre de palier
Le VMA
Perturbation
Timidité
Application
Mauvais (   /  )
Bon (   /   )
excellent (  /   )
A































































B































































C









































































 

               TEST NAVETTE: « Déterminer sa VMA »    
             


Nom du coureur :                                           Nom de l’observateur :
Paliers
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
Cocher cette
case lorsqu’un
palier est réalisé




         





















pallier  Vit(Km/h) VMA 100% 75% Duree/piste/S Durée /min Nmr tours Distance 
3 9,5 2,64 1,98 126 1,58 15,82 3956
4 10 2,78 2,08 120 1,53 16,34 4085
5 10,5 2,92 2,19 114 1,47 17,01 4252
6 11 3,06 2,29 109 1,42 17,61 4401
7 11,5 3,19 2,40 104 1,38 18,12 4529
8 12 3,33 2,50 100 1,34 18,66 4664
9 12,5 3,47 2,60 96 1,3 19,23 4808
10 13 3,61 2,71 92 1,27 19,69 4921
11 13,5 3,75 2,81 89 1,23 20,33 5081
12 14 3,89 2,92 86 1,2 20,83 5208


































































































Saut en longueur

Saut en longueur 

ATD de SL
Analyse et traitement didactique 

Saut en longueur

Définition

Le saut en longueur est une activité athlétique de performance appartenant aux familles des sauts, au cours de laquelle un bond à dominante horizontale est effectué à la suite d’une course optimale dont le but est de franchir la plus grande distance horizontale possible.

Logique interne

Le saut en longueur consiste à se projeter dans l’espace pour franchir la plus grande distance possible, en un seul bond après une course d’élan, une prise d’appel sur une marque (planche) et une réception dans une fosse.
Les athlètes se lancent dans une course d'élan sur une piste rectiligne de 40 mètres, prennent une impulsion sur leur meilleur pied (ou pied d'appel) juste avant une surface en plasticine, et sautent pour atterrir le plus loin possible dans un bac à sable. L'athlète qui touchera la plasticine positionnée juste après la planche d'appel et qui aura donc dépassé la ligne d'appel ne verra pas son saut mesuré. On dit qu'il a mordu. Plusieurs sauts mordus et donc non mesurés ont atteint les 9 m, mais sachant qu'un pied de taille 45 fait environ 30 cm, ces sauts ne mesurent pas plus de 8 m 80/90. Les concurrents ont généralement trois essais auxquels viennent s'ajouter trois essais supplémentaires pour les finalistes (en principe les huit premiers). Le gagnant est celui qui a réalisé le plus long saut mesuré. En cas d'égalité, on départage les sauteurs en prenant en considération le second meilleur saut effectué.

Les enjeux de la formation

Le saut en longueur pratiqué à l’école favorise le développement de l’enfant dans les domaines :

Moteur :
- développer la capacité de la perception du corps dans l’espace et le temps
- développement des capacités organique.
- développement des capacités de maîtrise des déplacements.
- développement de l’équilibre général, la coordination général et la vitesse de la réaction.
- Repères spatiaux et temporels pour organiser les actions.
- Dissociation tronc inférieur/tronc supérieur.
- Rapport avec la pesanteur.
- Organisation du corps dans l’espace terrestre et aérien.
Cognitif :
-Développement de la connaissance de vocabulaire en rapport avec le corps humain, les termes proposés au saut ainsi que le règlement relatif à l’activité.
Énergétique :
-Sollicitation des processus de renouvellement de l’énergie.
Socio-affectif :
-Se motiver pour dépasser ses propres limites.
-Se confronter aux autres.
-Confiance en soit, prise de l’initiative et la maîtrise émotionnelle.

Problème fondamental

Dans le saut en longueur, le problème fondamental est l’établissement d’une relation entre la course d’élan et l’impulsion. (Transformer la vitesse horizontale en force propulsive).

Principes et règles d’actions


1-La course d’élan :

- Doit être progressivement accélérée.
- Le rythme d’appui s’accélère, les appuis brefs en fin de course.
- La course doit être relâchée.
- La vitesse optimale, obtenue dans les 3 dernières foulées.
L’avant dernier appui :
- C’est un point clé parmi d’autres du saut en longueur. Il faut monter vers l’avant mais loin.
- Un abaissement plus ou moins grand du centre de gravité sur l’avant dernière foulées.
La dernière foulée :
- Elle est plus courte que l’avant dernière foulée.
- Elle a la conséquence :
               *D’un aboutissement court de CG sur l’avant dernier appui.
               *D’un rythme parfait sur les 3 derniers appuis.

2- L’impulsion :

Si la course d’élan est correcte il évitera l’impulsion en piston.
*Le griffé : Le pied d’appel posé en avant du bassin dans l’axe de la course dans un mouvement de la griffé. Le pied d’appel se rabat sur la planche d’appel dans un mouvement très rapide en rasant.
*La poussée : l’athlète doit avoir l’impression d’être catapulté vers l’avant puis de plonger la poussée en suspension.

3- La suspension :

 En longueur c’est la phase de grandissement.

4- La réception :

Une extension des jambes sur les cuisses.

Les niveaux de jeu

Niveau de pratique
Comportements observables –caractéristiques initiales
I
          Le sauteur ralentit à l'approche du sautoir
          il piétine, hésite, a peur de la fosse de sable
          Le saut est soit plat (en seule continuité avec la course) soit haut (blocage à l'appel)
II
         L'enfant n'a plus peur.
         Il effectue un saut dans la fosse mais en piétinant, en cherchant son pied d'appel
III
         L'enfant ne piétine plus, il connaît sa jambe d'appel mais le saut donne priorité à la réception, il est effectué groupé.
IV
         L'enfant pousse sur la jambe d'appel, il monte la jambe libre mais les actions ne sont pas complètes et l'élan est étriqué
V
         L'impulsion est dynamique, la liaison course d'élan / impulsion est meilleure mais les performances sont inconstantes, la réussite irrégulière.




hypnosport

Formulaire de contact

Nom

E-mail *

Message *

Fourni par Blogger.
Javascript DisablePlease Enable Javascript To See All Widget